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L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste
#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024
Changes at "Mettre en place des Salad bar"
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(A partir de la proposition 2184 )
IDEE:
Le projet est d’installer des salad bars (avec des crudités par exemple) dans les CROUS tout en incitant les étudiantes et étudiants à ramener leurs contenants lorsque les salades sont mangées sur place. Les produits proposés sont de saison, l'idéal serait d'en installer sur les sites où il y a déjà des cafétérias, des restaurants universitaires, mais aussi là où il n'y en a pas encore (comme à l'IEP de Fontainebleau).
ENJEUX:
Manger plus sainement, et offrir un accès à une alimentation saine et durable à tous les campus.
Diversifier les repas du Crous, en laissant l'opportunité de choisir ce que l'on va consommer.
ACTEUR-ICES:
- CROUS: pour mettre en place les salad bars
-Associations écologique et solidaire (comme Soligreen)
- Administration de l’UPEC: pour inscrire le projet dans le cahier des charges avec le CROUS.
- Possibilité d’intervention des étudiant-es dans la gestion du stand et rémunération similaire à celui du CROUS and go (par les ambassadeurs?)
-Dans les restaurant universitaires (sans Crous'n Go), c'est le personnel qui gère ces Salad'bars, et potentiellement des étudiant-es bénévoles
DIFFICULTES
-problèmes d'hygiènes, de conservation
-Si on veut proposer des aliments durables, le fait qu'ils soient de saison ne suffit pas. Il y a des aliments (comme l'avocat) dont la production est polluante: faut-il ne pas les proposer où les vendre plus cher? La première option semble préférable, même si elle peut entraîner des déceptions.
-Gaspillage alimentaire: mais nous proposons un système de pré-inscription (pour commander à l'avance sa salade), et le reste pourrait être composté (problème: à quoi sert le compost derrière? Sera-t-il utilisé par un agriculteur, etc?. Cela pourrait également être redistribué (les restes alimentaires) par des associations écologiques et solidaires telles que Soligreen.
INITIATIVES SIMILAIRES
-Prendre exemple sur des supermarchés tel que Monoprix, Franprix (qui proposent déjà ce concept)
-A l'Institut Catholique de Paris, cette proposition est déjà en place et fonctionne (même si leur projet est limité en raison de l'utilisation d'emballages plastiques)
IMPACTS
-Au niveau de l'impact socio-environnemental, c'est un dispositif assez énergivore (pour que la salade soit réfrigérée), mais en parallèle il pourrait permettre d'ancrer de nouvelles habitudes alimentaires plus durables (moins de plastiques, plus de légumes de saison).
-Au niveau de la faisabilité, il faudrait réalisé un sondage au préalable pour s'assurer que ce dispositif trouve un public, puis établir une enquête par la suite pour voir si le dispositif est réellement suivi.
C'est une proposition qui pourrait intéresser les étudiant-es qui veulent pouvoir manger sainement et pas cher, tout en se faisant plaisir.
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(A partir de la proposition 2184 )
IDEE:
Le projet est d’installer des salad bars (avec des crudités par exemple) dans les CROUS tout en incitant les étudiantes et étudiants à ramener leurs contenants lorsque les salades sont mangées sur place. Les produits proposés sont de saison, l'idéal serait d'en installer sur les sites où il y a déjà des cafétérias, des restaurants universitaires, mais aussi là où il n'y en a pas encore (comme à l'IEP de Fontainebleau).
ENJEUX:
Manger plus sainement, et offrir un accès à une alimentation saine et durable à tous les campus.
Diversifier les repas du Crous, en laissant l'opportunité de choisir ce que l'on va consommer.
ACTEUR-ICES:
- CROUS: pour mettre en place les salad bars
-Associations écologique et solidaire (comme Soligreen)
- Administration de l’UPEC: pour inscrire le projet dans le cahier des charges avec le CROUS.
- Possibilité d’intervention des étudiant-es dans la gestion du stand et rémunération similaire à celui du CROUS and go (par les ambassadeurs?)
-Dans les restaurant universitaires (sans Crous'n Go), c'est le personnel qui gère ces Salad'bars, et potentiellement des étudiant-es bénévoles
DIFFICULTES
-problèmes d'hygiènes, de conservation
-Si on veut proposer des aliments durables, le fait qu'ils soient de saison ne suffit pas. Il y a des aliments (comme l'avocat) dont la production est polluante: faut-il ne pas les proposer où les vendre plus cher? La première option semble préférable, même si elle peut entraîner des déceptions.
-Gaspillage alimentaire: mais nous proposons un système de pré-inscription (pour commander à l'avance sa salade), et le reste pourrait être composté (problème: à quoi sert le compost derrière? Sera-t-il utilisé par un agriculteur, etc?. Cela pourrait également être redistribué (les restes alimentaires) par des associations écologiques et solidaires telles que Soligreen.
- Budget : Quel fournisseur (producteur/ grande surface) ? Quel transport pour quel émission ?
- Quel tarif ? = Aide pour les boursier ? Pour tous ?
INITIATIVES SIMILAIRES
-Prendre exemple sur des supermarchés tel que Monoprix, Franprix (qui proposent déjà ce concept)
-A l'Institut Catholique de Paris, cette proposition est déjà en place et fonctionne (même si leur projet est limité en raison de l'utilisation d'emballages plastiques)
IMPACTS
-Au niveau de l'impact socio-environnemental, c'est un dispositif assez énergivore (pour que la salade soit réfrigérée), mais en parallèle il pourrait permettre d'ancrer de nouvelles habitudes alimentaires plus durables (moins de plastiques, plus de légumes de saison).
-Au niveau de la faisabilité, il faudrait réalisé un sondage au préalable pour s'assurer que ce dispositif trouve un public, puis établir une enquête par la suite pour voir si le dispositif est réellement suivi.
C'est une proposition qui pourrait intéresser les étudiant-es qui veulent pouvoir manger sainement et pas cher, tout en se faisant plaisir.
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