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L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste

#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024

Étape 5 sur 5
Suite de la CCE 2024 09/12/2024 - 30/06/2025
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  • Propositions clôture
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Corps du texte

  • +["

    Propositions : 2401

    Contexte

    Un trop grand nombre de personnes en situation de précarité s’autocensurent lorsqu’il s’agit de reprendre des études. En 2019, 19 % des individus âgés de 25 à 35 ans n’avaient aucun diplôme ou seulement le brevet des collèges. Cette proportion de citoyen·nes sans diplôme constitue un potentiel inexploité pour l’économie, le rayonnement de la nation et l’égalité des chances.

    Objectifs

    En considérant que chaque individu a droit à trois années d’études supérieures, une somme devrait être automatiquement dédiée à l’apprentissage universitaire. Ce capital scolaire prendrait la forme d’un soutien financier attribué à toute personne ayant quitté le système scolaire sans obtenir de diplôme.

    L’objectif principal est de permettre à ces femmes et à ces hommes, ayant interrompu leurs études, de mobiliser ce crédit pour accéder à l’enseignement supérieur, sans craindre une perte de revenus liée à leur activité professionnelle.

    Pour améliorer les conditions de vie étudiante, il est également proposé d’élargir les horaires d’ouverture des CROUS et des bibliothèques universitaires (BU) en soirée. Cela permettrait de rentabiliser les trajets domicile-fac des étudiant·es et d’offrir plus régulièrement des repas équilibrés aux usagers.

    Enfin, ces critères devraient devenir des exigences nationales pour obtenir le label « Ville Universitaire ». Il est également essentiel d’enseigner aux étudiant·es l’utilisation des outils des services publics, car cela constitue une compétence nécessaire et transversale.

    Indicateurs d’impact

    Des données statistiques existent déjà pour identifier les citoyen·nes sans diplôme. Il serait ainsi possible de mesurer l’impact de ces mesures à travers plusieurs indicateurs : 

    • le taux de retour aux études ;
    • le taux d’insertion professionnelle ;
    • la diminution du pourcentage de travailleur·euses sans diplôme.

    Ressources existantes

    Actuellement, les bourses du CROUS représentent une ressource importante, mais elles demeurent trop limitées et ne sont pas spécifiquement adaptées aux reprises d’études.

    Défis à relever

    L’un des principaux défis concerne la crainte d’un potentiel abus, notamment par l’utilisation du dispositif pour financer des années sabbatiques. Un contrôle rigoureux devra être mis en place pour limiter ces dérives.

    Acteur·rices 

    Plusieurs parties prenantes jouent un rôle clé dans ce projet :

    • Les pouvoirs publics, qui devront soutenir financièrement et administrativement le dispositif ;
    • Les universités, qui prendront en charge le coût des étudiant·es avant d’être remboursées par l’État.

    Autres précisions

    Pour éviter tout détournement du dispositif, le capital scolaire ne sera pas directement utilisable par l’étudiant·e. L’université se chargera de couvrir les frais liés à la formation et sera ensuite remboursée par l’État.



    ", ""]
  • +["<p> Propositions : <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2401\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2401</a> </p><p> <strong>Contexte</strong></p><p>Un trop grand nombre de personnes en situation de précarité s’autocensurent lorsqu’il s’agit de reprendre des études. En 2019, 19 % des individus âgés de 25 à 35 ans n’avaient aucun diplôme ou seulement le brevet des collèges. Cette proportion de citoyen·nes sans diplôme constitue un potentiel inexploité pour l’économie, le rayonnement de la nation et l’égalité des chances.</p><p><strong>Objectifs</strong></p><p>En considérant que chaque individu a droit à trois années d’études supérieures, une somme devrait être automatiquement dédiée à l’apprentissage universitaire. Ce capital scolaire prendrait la forme d’un soutien financier attribué à toute personne ayant quitté le système scolaire sans obtenir de diplôme.</p><p>L’objectif principal est de permettre à ces femmes et à ces hommes, ayant interrompu leurs études, de mobiliser ce crédit pour accéder à l’enseignement supérieur, sans craindre une perte de revenus liée à leur activité professionnelle.</p><p>Pour améliorer les conditions de vie étudiante, il est également proposé d’élargir les horaires d’ouverture des CROUS et des bibliothèques universitaires (BU) en soirée. Cela permettrait de rentabiliser les trajets domicile-fac des étudiant·es et d’offrir plus régulièrement des repas équilibrés aux usagers.</p><p>Enfin, ces critères devraient devenir des exigences nationales pour obtenir le label « Ville Universitaire ». Il est également essentiel d’enseigner aux étudiant·es l’utilisation des outils des services publics, car cela constitue une compétence nécessaire et transversale.</p><p><strong>Indicateurs d’impact</strong></p><p>Des données statistiques existent déjà pour identifier les citoyen·nes sans diplôme. Il serait ainsi possible de mesurer l’impact de ces mesures à travers plusieurs indicateurs :&nbsp;</p><ul><li>le taux de retour aux études ;</li><li>le taux d’insertion professionnelle ;</li><li>la diminution du pourcentage de travailleur·euses sans diplôme.</li></ul><p><strong>Ressources existantes</strong></p><p>Actuellement, les bourses du CROUS représentent une ressource importante, mais elles demeurent trop limitées et ne sont pas spécifiquement adaptées aux reprises d’études.</p><p><strong>Défis à relever</strong></p><p>L’un des principaux défis concerne la crainte d’un potentiel abus, notamment par l’utilisation du dispositif pour financer des années sabbatiques. Un contrôle rigoureux devra être mis en place pour limiter ces dérives.</p><p><strong>Acteur·rices&nbsp;</strong></p><p>Plusieurs parties prenantes jouent un rôle clé dans ce projet :</p><ul><li><strong>Les pouvoirs publics</strong>, qui devront soutenir financièrement et administrativement le dispositif ;</li><li><strong>Les universités</strong>, qui prendront en charge le coût des étudiant·es avant d’être remboursées par l’État.</li></ul><p><strong>Autres précisions</strong></p><p>Pour éviter tout détournement du dispositif, le capital scolaire ne sera pas directement utilisable par l’étudiant·e. L’université se chargera de couvrir les frais liés à la formation et sera ensuite remboursée par l’État.</p><p><br></p><p> <br></p>", ""]
Suppressions
  • le taux d’insertion professionnelle ;
  • la diminution du pourcentage de travailleur·euses sans diplôme.

Ressources existantes

Actuellement, les bourses du CROUS représentent une ressource importante, mais elles demeurent trop limitées et ne sont pas spécifiquement adaptées aux reprises d’études.

Défis à relever

L’un des principaux défis concerne la crainte d’un potentiel abus, notamment par l’utilisation du dispositif pour financer des années sabbatiques. Un contrôle rigoureux devra être mis en place pour limiter ces dérives.

Acteur·rices 

Plusieurs parties prenantes jouent un rôle clé dans ce projet :

  • Les pouvoirs publics, qui devront soutenir financièrement et administrativement le dispositif ;
  • Les universités, qui prendront en charge le coût des étudiant·es avant d’être remboursées par l’État.

Autres précisions

Pour éviter tout détournement du dispositif, le capital scolaire ne sera pas directement utilisable par l’étudiant·e. L’université se chargera de couvrir les frais liés à la formation et sera ensuite remboursée par l’État.



", ""]
Ajouts
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    Propositions : 2401

    Contexte

    Un trop grand nombre de personnes en situation de précarité s’autocensurent lorsqu’il s’agit de reprendre des études. En 2019, 19 % des individus âgés de 25 à 35 ans n’avaient aucun diplôme ou seulement le brevet des collèges. Cette proportion de citoyen·nes sans diplôme constitue un potentiel inexploité pour l’économie, le rayonnement de la nation et l’égalité des chances.

    Objectifs

    En considérant que chaque individu a droit à trois années d’études supérieures, une somme devrait être automatiquement dédiée à l’apprentissage universitaire. Ce capital scolaire prendrait la forme d’un soutien financier attribué à toute personne ayant quitté le système scolaire sans obtenir de diplôme.

    L’objectif principal est de permettre à ces femmes et à ces hommes, ayant interrompu leurs études, de mobiliser ce crédit pour accéder à l’enseignement supérieur, sans craindre une perte de revenus liée à leur activité professionnelle.

    Pour améliorer les conditions de vie étudiante, il est également proposé d’élargir les horaires d’ouverture des CROUS et des bibliothèques universitaires (BU) en soirée. Cela permettrait de rentabiliser les trajets domicile-fac des étudiant·es et d’offrir plus régulièrement des repas équilibrés aux usagers.

    Enfin, ces critères devraient devenir des exigences nationales pour obtenir le label « Ville Universitaire ». Il est également essentiel d’enseigner aux étudiant·es l’utilisation des outils des services publics, car cela constitue une compétence nécessaire et transversale.

    Indicateurs d’impact

    Des données statistiques existent déjà pour identifier les citoyen·nes sans diplôme. Il serait ainsi possible de mesurer l’impact de ces mesures à travers plusieurs indicateurs : 

    • le taux de retour aux études ;
    • le taux d’insertion professionnelle ;
    • la diminution du pourcentage de travailleur·euses sans diplôme.

    Ressources existantes

    Actuellement, les bourses du CROUS représentent une ressource importante, mais elles demeurent trop limitées et ne sont pas spécifiquement adaptées aux reprises d’études.

    Défis à relever

    L’un des principaux défis concerne la crainte d’un potentiel abus, notamment par l’utilisation du dispositif pour financer des années sabbatiques. Un contrôle rigoureux devra être mis en place pour limiter ces dérives.

    Acteur·rices 

    Plusieurs parties prenantes jouent un rôle clé dans ce projet :

    • Les pouvoirs publics, qui devront soutenir financièrement et administrativement le dispositif ;
    • Les universités, qui prendront en charge le coût des étudiant·es avant d’être remboursées par l’État.

    Autres précisions

    Pour éviter tout détournement du dispositif, le capital scolaire ne sera pas directement utilisable par l’étudiant·e. L’université se chargera de couvrir les frais liés à la formation et sera ensuite remboursée par l’État.



    ", ""]
Suppressions
Ajouts
  • +["<p> Propositions : <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2401\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2401</a> </p><p> <strong>Contexte</strong></p><p>Un trop grand nombre de personnes en situation de précarité s’autocensurent lorsqu’il s’agit de reprendre des études. En 2019, 19 % des individus âgés de 25 à 35 ans n’avaient aucun diplôme ou seulement le brevet des collèges. Cette proportion de citoyen·nes sans diplôme constitue un potentiel inexploité pour l’économie, le rayonnement de la nation et l’égalité des chances.</p><p><strong>Objectifs</strong></p><p>En considérant que chaque individu a droit à trois années d’études supérieures, une somme devrait être automatiquement dédiée à l’apprentissage universitaire. Ce capital scolaire prendrait la forme d’un soutien financier attribué à toute personne ayant quitté le système scolaire sans obtenir de diplôme.</p><p>L’objectif principal est de permettre à ces femmes et à ces hommes, ayant interrompu leurs études, de mobiliser ce crédit pour accéder à l’enseignement supérieur, sans craindre une perte de revenus liée à leur activité professionnelle.</p><p>Pour améliorer les conditions de vie étudiante, il est également proposé d’élargir les horaires d’ouverture des CROUS et des bibliothèques universitaires (BU) en soirée. Cela permettrait de rentabiliser les trajets domicile-fac des étudiant·es et d’offrir plus régulièrement des repas équilibrés aux usagers.</p><p>Enfin, ces critères devraient devenir des exigences nationales pour obtenir le label « Ville Universitaire ». Il est également essentiel d’enseigner aux étudiant·es l’utilisation des outils des services publics, car cela constitue une compétence nécessaire et transversale.</p><p><strong>Indicateurs d’impact</strong></p><p>Des données statistiques existent déjà pour identifier les citoyen·nes sans diplôme. Il serait ainsi possible de mesurer l’impact de ces mesures à travers plusieurs indicateurs :&nbsp;</p><ul><li>le taux de retour aux études ;</li><li>le taux d’insertion professionnelle ;</li><li>la diminution du pourcentage de travailleur·euses sans diplôme.</li></ul><p><strong>Ressources existantes</strong></p><p>Actuellement, les bourses du CROUS représentent une ressource importante, mais elles demeurent trop limitées et ne sont pas spécifiquement adaptées aux reprises d’études.</p><p><strong>Défis à relever</strong></p><p>L’un des principaux défis concerne la crainte d’un potentiel abus, notamment par l’utilisation du dispositif pour financer des années sabbatiques. Un contrôle rigoureux devra être mis en place pour limiter ces dérives.</p><p><strong>Acteur·rices&nbsp;</strong></p><p>Plusieurs parties prenantes jouent un rôle clé dans ce projet :</p><ul><li><strong>Les pouvoirs publics</strong>, qui devront soutenir financièrement et administrativement le dispositif ;</li><li><strong>Les universités</strong>, qui prendront en charge le coût des étudiant·es avant d’être remboursées par l’État.</li></ul><p><strong>Autres précisions</strong></p><p>Pour éviter tout détournement du dispositif, le capital scolaire ne sera pas directement utilisable par l’étudiant·e. L’université se chargera de couvrir les frais liés à la formation et sera ensuite remboursée par l’État.</p><p><br></p><p> <br></p>", ""]
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Avatar: Du mesnil de maricourt Du mesnil de maricourt
Version créée le 04/04/2025 17:19
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