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L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste

#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024

Étape 5 sur 5
Suite de la CCE 2024 09/12/2024 - 30/06/2025
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N°4 : Végétaliser l’ensemble des campus de l’UPEC

Avatar: Proposition officielle Proposition officielle
04/04/2025 16:04  

Propositions : 2132 ; 2192 ; 2326 ( amendement 2192) ; 2080

Contexte

L’exposition aux pollutions de l’air a des conséquences non négligeables sur la santé des étudiant·es et personnels de l’UPEC. 

Les campus ne bénéficient pas des mêmes infrastructures. Cela engendre des inégalités en matière de qualité et de conditions de vie étudiante et dégrade, par extension, leurs parcours à l’UPEC.

Objectifs

Pour réduire ces inégalités et agir en faveur de l’environnement, il est proposé de : 



  • Renforcer la biodiversité sur les campus en réduisant les surfaces imperméabilisées et en aménageant des espaces végétalisés/naturels, tels que des prairies fleuries, des jardins participatifs ou encore des friches. Une expertise sera nécessaire pour évaluer la faisabilité de la végétalisation des toits et façades, ou pour envisager de remplacer d’y installer des plantes en pots. Ces aménagements permettront d’améliorer la qualité de l’air et de créer des lieux propices à la détente et à la socialisation.


  • Promouvoir des mobilités plus responsables, en encourageant activement les déplacements à pied, en vélo, en transports en communs ou en covoiturage à l’UPEC. Pour ce faire, l’université partagera les données déjà disponibles sur le covoiturage au sein de ses campus. En complément, elle développera sa propre application dédiée au covoiturage et déploiera des actions de sensibilisation. Par ailleurs, il est essentiel de développer des infrastructures qui facilitent les mobilités douces, comme des pistes cyclables, des espaces sécurisés pour les vélos et l’ouverture parking aux covoitureur·euses ;


  • Améliorer la qualité de l’air des campus en créant des zones fumeurs abritées et végétalisées, éloignées des bâtiments principaux.Cela contribuera à réduire les nuisances causées par le tabagisme passif ; 


  • Améliorer la qualité de vie des étudiant·es en aménageant des espaces extérieurs conviviaux. Ces espaces pourront inclure des tables, des pergolas végétalisées accompagnées de plantes grimpantes (de type glycine), ainsi que des zones de détente pour inciter les étudiant·es à ne pas rester concentré·es dans la salle de vie étudiante.

Défis à relever

Le premier défi concerne le manque de financement, pouvant ralentir la réalisation de projets d’une telle ampleur. Il est souvent complexe de mobiliser des fonds pour des projets d'amélioration des infrastructures, en particulier lorsqu'il s'agit de travaux importants tels que la végétalisation ou la création de nouveaux espaces. Les budgets restreints et la concurrence entre les projets compliquent d’autant plus l’acquisition de financement.

Le deuxième défi est lié à la bureaucratie. L'amélioration des infrastructures nécessite une coordination entre plusieurs parties prenantes, notamment l'administration de l’UPEC, les collectivités territoriales et les entreprises de construction. Cette multiplicité d'acteur·rices entraîne souvent des lenteurs bureaucratiques, rendant la mise en œuvre des projets plus longue et difficile.

Le troisième défi concerne les campus souffrant d’un manque de terrain constructible. Certains campus ont peu de terrain, ce qui limite toute possibilité de construire ou de végétaliser. Par ailleurs, l’absence de zones non bâties contraint à aménager des infrastructures existantes ou à trouver des solutions innovantes pour maximiser l'utilisation de l'espace.

Ressources existantes :


  • Certains campus disposent d’espaces verts mais ne sont pas valorisés ;

  • Les associations étudiantes et le CROUS joueront un rôle essentiel dans la mise en œuvre et la gestion des projets. Elles contribueront à définir les priorités, à organiser des événements afin de sensibiliser la communauté étudiante, et à soutenir le développement de nouveaux services.

Ressources nécessaires :


  • Installation de points fumeurs (donc de nouvelles infrastructures en acier inoxydable) et une gestion de déchets (mégots de cigarettes) ;

  • Des financements supplémentaires devront être mobilisés, comme des subventions gouvernementales, des fonds régionaux, ou des partenariats privés intéressés par le développement durable et l'amélioration du cadre de vie des étudiant·es ; 

  • Expertise en aménagement : la contribution de professionnels tels que des urbanistes, des architectes, et des spécialistes de la végétalisation est cruciale pour planifier et concevoir des infrastructures durables et bien adaptées aux besoins des étudiant·es ;

  • Main d'œuvre : des travailleur·euses qualifié·es, des entreprises de jardinage pour la végétalisation ou des entreprises de BTP pour les constructions et rénovations nécessaires, seront également nécessaires pour la réalisation concrète des projets.

Les acteur·rices


  • Le gouvernement et les collectivités territoriales sont essentiel·les afin d’obtenir les financements et autorisations nécessaires à la réalisation des projets ;



  • Les services de l’UPEC jouent un rôle central dans la coordination des projets, la gestion des ressources et la garantie que les initiatives répondent aux besoins des étudiant·es. Ils s’assurent également que les projets sont alignés sur les objectifs stratégiques de l'institution ;



  • Les associations étudiantes sont les porte-parole des besoins des étudiant·es. Leur implication permettra de s'assurer que les espaces aménagés répondent effectivement aux attentes des étudiant·es en matière de confort et de bien-être. Elles participeront également à la conception ainsi qu’à la promotion des nouveaux espaces ;



  • Le Crous de Créteil est un acteur clé dans la gestion des logements étudiants et la mise en place de services sur les campus. Le Crous de Créteil doit garantir à tous·tes les étudiant·es un accès à des infrastructures de logement et de restauration adaptées. Cela contribue à une meilleure qualité de vie.



  • Des entreprises spécialisées (construction, végétalisation) seront responsables de la réalisation pratique des travaux et de la maintenance des nouvelles infrastructures. Elles apporteront l'expertise technique et les compétences nécessaires pour assurer la qualité et la durabilité des aménagements, qu'il s'agisse de constructions ou de végétalisation des espaces.


Il existe déjà de nombreux·ses acteur·rices privé·es et public·ques qui proposent des espaces dédiés aux fumeur·euses. S’agissant des espaces végétalisés, ce sont des concepts assez récents mais largement étudiés par les collectivités. 


Evaluation de l’impact de la proposition 

Pour évaluer l’impact de ces initiatives, plusieurs indicateurs pourront être utilisés. La satisfaction des étudiant·es pourra être mesurée grâce à des enquêtes par exemple.

Le taux d’utilisation des infrastructures nouvellement créées permettra de vérifier leur pertinence et leur attractivité. Enfin, des études sur la perception des étudiant·es quant aux différences entre les campus pourront mettre en évidence une réduction des disparités après la mise en œuvre des projets.

Actions en cours

Une centaine de cendriers de type "Nudge" sont en cours de déploiement à l’UPEC. Leur installation doit prendre la forme d’une collaboration entre la Vice-présidence étudiante et la Direction du Patrimoine et du Développement Durable de l’UPEC. Ils pourront être installés pour améliorer la gestion des déchets liés au tabagisme. 

Autres précisions


Un exemple inspirant est celui de l’Université de Nantes, qui a réussi à réduire les inégalités entre ses campus en végétalisant les espaces et en améliorant la qualité des infrastructures.

La mise en œuvre de ces initiatives permettra à l’UPEC de se positionner comme une université durable, en phase avec les objectifs du programme One Health, et de répondre aux attentes croissantes des étudiant·es en matière de qualité de vie et d’engagement écologique.





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N°4 : Végétaliser l’ensemble des campus de l’UPEC Commentaires 0

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Ces aménagements permettront d’améliorer la qualité de l’air et de créer des lieux propices à la détente et à la socialisation.</li><li><strong>Promouvoir des mobilités plus responsables</strong>, en encourageant activement les déplacements à pied, en vélo, en transports en communs ou en covoiturage à l’UPEC. Pour ce faire, l’université partagera les données déjà disponibles sur le covoiturage au sein de ses campus. En complément, elle développera sa propre application dédiée au covoiturage et déploiera des actions de sensibilisation. Par ailleurs, il est essentiel de développer des infrastructures qui facilitent les mobilités douces, comme des pistes cyclables, des espaces sécurisés pour les vélos et l’ouverture parking aux covoitureur·euses ;</li><li><strong>Améliorer la qualité de l’air des campus</strong> en créant des zones fumeurs abritées et végétalisées, éloignées des bâtiments principaux.Cela contribuera à réduire les nuisances causées par le tabagisme passif ;&nbsp;</li><li><strong>Améliorer la qualité de vie des étudiant</strong>·e<strong>s</strong> en aménageant des espaces extérieurs conviviaux. Ces espaces pourront inclure des tables, des pergolas végétalisées accompagnées de plantes grimpantes (de type glycine), ainsi que des zones de détente pour inciter les étudiant·es à ne pas rester concentré·es dans la salle de vie étudiante.</li></ul><p><strong>Défis à relever</strong></p><p>Le premier défi concerne le <strong>manque de financement</strong>, pouvant ralentir la réalisation de projets d’une telle ampleur. Il est souvent complexe de mobiliser des fonds pour des projets d'amélioration des infrastructures, en particulier lorsqu'il s'agit de travaux importants tels que la végétalisation ou la création de nouveaux espaces. Les budgets restreints et la concurrence entre les projets compliquent d’autant plus l’acquisition de financement.</p><p>Le deuxième défi est lié à la <strong>bureaucratie</strong>. L'amélioration des infrastructures nécessite une coordination entre plusieurs parties prenantes, notamment l'administration de l’UPEC, les collectivités territoriales et les entreprises de construction. Cette multiplicité d'acteur·rices entraîne souvent des lenteurs bureaucratiques, rendant la mise en œuvre des projets plus longue et difficile.</p><p>Le troisième défi concerne les campus souffrant d’un <strong>manque de terrain constructible</strong>.&nbsp;Certains campus ont peu de terrain, ce qui limite toute possibilité de construire ou de végétaliser. Par ailleurs, l’absence de zones non bâties contraint à aménager des infrastructures existantes ou à trouver des solutions innovantes pour maximiser l'utilisation de l'espace.</p><p><strong>Ressources existantes</strong> :</p><ul><li>Certains campus disposent d’espaces verts mais ne sont pas valorisés ;</li><li>Les associations étudiantes et le CROUS joueront un rôle essentiel dans la mise en œuvre et la gestion des projets. Elles contribueront à définir les priorités, à organiser des événements afin de sensibiliser la communauté étudiante, et à soutenir le développement de nouveaux services.</li></ul><p><strong>Ressources nécessaires</strong> :</p><ul><li>Installation de points fumeurs (donc de nouvelles infrastructures en acier inoxydable) et une gestion de déchets (mégots de cigarettes) ;</li><li>Des financements supplémentaires devront être mobilisés, comme des subventions gouvernementales, des fonds régionaux, ou des partenariats privés&nbsp;intéressés par le développement durable et l'amélioration du cadre de vie des étudiant·es ;&nbsp;</li><li>Expertise en aménagement : la contribution de professionnels tels que des urbanistes, des architectes, et des spécialistes de la végétalisation est cruciale pour planifier et concevoir des infrastructures durables et bien adaptées aux besoins des étudiant·es ;</li><li>Main d'œuvre : des travailleur·euses qualifié·es, des entreprises de jardinage pour la végétalisation ou des entreprises de BTP pour les constructions et rénovations nécessaires, seront également nécessaires pour la réalisation concrète des projets.</li></ul><p><strong>Les acteur·rices</strong></p><ul><li><strong>Le gouvernement et les collectivités territoriales</strong> sont essentiel·les afin d’obtenir les financements et autorisations nécessaires à la réalisation des projets ;</li></ul><p><br></p><ul><li><strong>Les services de l’UPEC</strong> jouent un rôle central dans la coordination des projets, la gestion des ressources et la garantie que les initiatives répondent aux besoins des étudiant·es. Ils s’assurent également que les projets sont alignés sur les objectifs stratégiques de l'institution ;</li></ul><p><br></p><ul><li><strong>Les associations étudiantes</strong> sont les porte-parole des besoins des étudiant·es. Leur implication permettra de s'assurer que les espaces aménagés répondent effectivement aux attentes des étudiant·es en matière de confort et de bien-être. Elles participeront également à la conception ainsi qu’à la promotion des nouveaux espaces ;</li></ul><p><br></p><ul><li><strong>Le Crous de Créteil</strong> est un acteur clé dans la gestion des logements étudiants et la mise en place de services sur les campus. Le Crous de Créteil doit garantir à tous·tes les étudiant·es un accès à des infrastructures de logement et de restauration adaptées. Cela contribue à une meilleure qualité de vie.</li></ul><p><br></p><ul><li><strong>Des entreprises spécialisées</strong> (construction, végétalisation) seront responsables de la réalisation pratique des travaux et de la maintenance des nouvelles infrastructures. Elles apporteront l'expertise technique et les compétences nécessaires pour assurer la qualité et la durabilité des aménagements, qu'il s'agisse de constructions ou de végétalisation des espaces.</li></ul><p><br></p><p>Il existe déjà de nombreux·ses acteur·rices privé·es et public·ques qui proposent des espaces dédiés aux fumeur·euses. S’agissant des espaces végétalisés, ce sont des concepts assez récents mais largement étudiés par les collectivités.&nbsp;</p><p><br></p><p><strong>Evaluation de l’impact de la proposition&nbsp;</strong></p><p>Pour évaluer l’impact de ces initiatives, plusieurs indicateurs pourront être utilisés. La satisfaction des étudiant·es pourra être mesurée grâce à des enquêtes par exemple.</p><p>Le taux d’utilisation des infrastructures nouvellement créées permettra de vérifier leur pertinence et leur attractivité. Enfin, des études sur la perception des étudiant·es quant aux différences entre les campus pourront mettre en évidence une réduction des disparités après la mise en œuvre des projets.</p><p><strong>Actions en cours</strong></p><p>Une centaine de cendriers de type \"Nudge\" sont en cours de déploiement à l’UPEC. Leur installation doit prendre la forme d’une collaboration entre la Vice-présidence étudiante et la Direction du Patrimoine et du Développement Durable de l’UPEC. 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