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#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024
Amendment to "Une alternative végétarienne à chaque repas et un jour 100% végétarien par semaine à l’UPEC"
Title
- -{"fr"=>"Une alternative végétarienne à chaque repas et un jour 100% végétarien par semaine à l’UPEC"}
- +{"fr"=>"Créer une alternative végétarienne à chaque repas au Crous'n go"}
Body
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1) A quel.s constats, enjeux, ou problématique répond cette proposition ? En quoi la proposition permettrait de répondre à cet enjeu ?
Inclusion dans alimentation (comment l’université nourrie ses étudiant.es aux régimes alimentaires particuliers ?)
2) Quelles sont les difficultés identifiées à la mise en œuvre de cette proposition ? (Manque de données, diagnostic nécessaire, cadre réglementaire, etc.)
Contrainte budgétaire et manque de considération des besoins étudiants.
Le goût et saveurs des alternatives végétales pas toujours au rendez-vous révèlent un dissensus autour de l’obligation d’un jour 100% végétal (habitudes alimentaires).
Pas de contrôle ou de conséquences de la non-application de la loi Egalim.
3) Quelles sont les ressources existantes ou inexistantes mais nécessaires à la mise en œuvre de cette proposition ?
Crous, éco-délégué.es, associations pour faire porter leurs voix, administration de l’UPEC pour l’application de la loi.
4) Existe-t-il des initiatives similaires au sein de l’UPEC ? (Demander aux fact-checkerus de vérifier sur le site de l’UPEC les actions existantes mise en œuvre au sein de l’université)
Les grosses antennes du Crous à l’UPEC appliquent la loi Egalim.
5) Qui/quels sont les acteurs importants et pourquoi ? (Collectivités territoriales, monde associatif, services de l’université, etc.)
Administration, Crous, étudiant.es.
6) Autres précisions
Pour imposer une alternative végétalienne ou végétalienne par repas cinq jours par semaine, l’accent devrait être mis sur une proposition de plats végétariens savoureux (avec une possibilité d’augmentation de la quantité dans l’assiette si voulue pour conserver un apport nutritif suffisant) afin de convaincre les plus récalcitrant.es d’adopter une alimentation plus végétale.
Possibilité de fusion avec une autre proposition de la même thématique.
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1) A quel.s constats, enjeux, ou problématique répond cette proposition ? En quoi la proposition permettrait de répondre à cet enjeu ?
Cette proposition permettrait de répondre au régime alimentaire de chacun. Au Crous'n go, il n'y a qu'une fois par semaine un repas végétarien et les alternatives végétariennes ne sont pas suffisamment développées et attractives.
2) Quelles sont les difficultés identifiées à la mise en œuvre de cette proposition ? (Manque de données, diagnostic nécessaire, cadre réglementaire, etc.)
Difficultés pour les cuisiniers de préparer des barquettes végétariennes individuelles chaque jours en ayant une faible demande (plus cher de contenant que de contenus). Complexité générale dans le processus.
3) Quelles sont les ressources existantes ou inexistantes mais nécessaires à la mise en œuvre de cette proposition ?
Mettre en application la loi: \"Depuis le 1er janvier 2023, la loi Egalim impose aux établissements publics de proposer une option végétarienne tous les jours\" + Communication avec la direction du Crous de l'UPEC
4) Existe-t-il des initiatives similaires au sein de l’UPEC ? (Demander aux fact-checkerus de vérifier sur le site de l’UPEC les actions existantes mise en œuvre au sein de l’université)
Au sein des Crous et des restaurants universitaires de l'UPEC, il a des repas végétariens tous les jours et ils appliquent la loi Egalim.
5) Qui/quels sont les acteurs importants et pourquoi ? (Collectivités territoriales, monde associatif, services de l’université, etc.
étudiant.es, Crous (cuisiniers), Direction, UPEC,
6) Autres précisions
Pour imposer une alternative végétalienne ou végétalienne par repas cinq jours par semaine, l’accent devrait être mis sur une proposition de plats végétariens savoureux (avec une possibilité d’augmentation de la quantité dans l’assiette si voulue pour conserver un apport nutritif suffisant) afin de convaincre les plus récalcitrant.es d’adopter une alimentation plus végétale.
La mise en place de plats cashers était aussi proposée afin de toucher un maximum de régimes alimentaire mais le problème dépasse l'UPEC et relève de la laïcité mise en place par l'Etat.
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