Quel numérique pour quelle société ?
#CCE2022 La Convention citoyenne étudiante 2022
Création d’une banque d’outils numérique de seconde main
Retenue
Elle serait alimentée par les étudiants qui n’utilisent plus leurs appareils. Pourquoi pas envisager une compensation (pour motiver les personnes à donner leurs appareils) : bon de réduction/ une place de cinéma…
Outils numérique : Ceux qui fonctionne, les reconditionner et pour ceux qui ne marchent pas les réparer si possible sinon utiliser les pièces détachées pour les ateliers de réparation. (Toute sorte d’appareil) Pour la réparation demander un partenariat à la mairie avec une entreprise de réparation.
Proposition figurant dans ces réalisations :
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Elle serait alimentée par les étudiants qui n’utilisent plus leurs appareils. Pourquoi pas...
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Fusion avec - Prêt de matériel numérique à des étudiant.es dans le besoinL’objectif ici est de...
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10 commentaires
Excellente proposition, mais pourquoi ne l'appliquer qu'aux étudiant.e.s et non à l'ensemble de la communauté UPEC. Concernant la réparation, il faudrait contacter également les fablabs locaux, Emmaus Connect et autres associations.
Cette proposition est similaire et pourrait être fusionnée avec la proposition "Campagne de collecte d'appareils personnels à l'université".
Conversation avec anonym
Que faire une fois que les appareils sont collectés ? Sont-ils revendus, redistribués ? Si oui, à qui ?
Le but est d'éviter à tous prix que les appareils inutilisés restent dans les placards : le plus gros de la pollution numérique (pour les particuliers) provient de la fabrication des terminaux. Donc le principe serait de collecter, remettre en état si possible et redonner aux étudiants dans le besoin, sinon de remettre l'appareil dans des filières de recyclage officielles.
Conversation avec anonym
En ce qui concerne la compensation, est-ce qu'associer une valeur marchande à un acte charitable n'inciterait pas les personnes à aller les revendre dans un dépôt-vente ? Vaut-il mieux ne pas mettre de compensation en ce sens ?
Je pense qu'avec un travail de sensibilisation auprès de la population prête à donner sur l'impact que peut avoir un don de matériel numérique à destination des étudiant.e.s dans le besoin, la valeur marchande (sans doute peu intéressante financièrement, à approfondir) de ses outils pèsera moins dans la balance. Peut être utopiste comme vision, mais les personnes peuvent être généreuses. Il y a surement un grand nombre d'objets dormants dans les foyers bellifontains.
Conversation avec Arthur Giagnorio
Il pourrait être pertinent d'aller voir directement des entreprises du territoire bellifontain afin de pouvoir profiter d'éventuels dons "en gros", les entreprises renouvelant régulièrement leur "flotte" d'équipements. Cela pourrait être mit en place en coopération avec la mairie de Fontainebleau afin d'avoir plus de poids auprès des entreprises. Emmaüs connect pourra également être un partenaire dans cette démarche.
Si pour le début de la démarche, il est peut être nécessaire de limiter l'accès aux outils numériques aux étudiants, en particulier les plus précaires, je pense que l'objectif devrait être d'élargir au bout de un ou deux ans les bénéficiaires. En effet, il y a de nombreux bellifontains en situation de précarité. Leurs refuser l'accès car ils ne sont pas étudiant serait dommage.
Elargir l'impact du projet permettra également selon moi d'obtenir plus de dons. Présenter un projet touchant non pas seulement les étudiants mais également une partie importante des personnes précaires du territoire est plus vendeur et impliquera plus les potentiels donneurs.
Il serait intéressant de pouvoir recenser quels seraient les publics touchés : étudiant.e.s nécessitant un pc, téléphone portable, etc. A travers un sondage par exemple pour évaluer le niveau de demande.
Peut-être éventuellement via la création d'une WebApp en partenariat avec la ville pour que chacun.e puisse poster soit une demande ou un don de matériel informatique. Cette organisation doit également venir de l'Université probablement en l'intégrant aux missions d'une association étudiante et d'un pôle numérique, également faisant partie des propositions de cette CCE.
Il est nécessaire selon moi d'avoir des locaux pour ancrer physiquement la démarche dans le territoire. Nous parlons régulièrement de la disparition des guichets de l'administration comme un phénomène contre lequel il faut lutter. De ce fait, dématérialiser cette démarche limiterai l'impact et l'accessibilité aux informations et aux dépôts.
Avoir un local permettrait d'accueillir des personnes en recherche d'information sans avoir besoin de se perdre sur internet. Egalement de réceptionner directement les outils à un endroit fix connu de tous.
Enfin, si la démarche vise à demander à des entreprises ou à la mairie de faire des dons, ces acteurs ne donneront pas les outils un par un : il faut donc pouvoir les stocker à un endroit !
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