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#CCE2023 La convention citoyenne étudiante 2023
Intégrer aux cours magistraux des interactions numériques (et ludiques)
- À quelle.s constat(s), enjeu(x) ou problématique(s) répond cette proposition ? En quoi la proposition permettrait de répondre à cet enjeu ?
Cette proposition vise à répondre au constat suivant : Une passivité est souvent associée aux cours magistraux (CM) traditionnels en raison de leur format trop dense pour les capacités de concentration des étudiants d’aujourd’hui. Au vu de la sur-stimulation quotidiennes due aux divertissements, notre capacité de concentration s’est détériorée.
L’amélioration de l’efficacité pédagogique passerait donc par des interactions numériques, plus stimulantes.
- Quelles sont les ressources existantes ou inexistantes mais nécessaires à la mise en oeuvre de la proposition ?
Pour sa mise en oeuvre, des ressources existantes telles que Woodclap, une plateforme permettant de créer facilement des quiz et des sondages participatifs, peuvent être utilisées. Par ailleurs, un réseau wifi fonctionnel est nécessaire au sein de l’établissement pour mener à bien ce projet.
- Quels sont les acteurs importants et pourquoi ? (Collectivités territoriales, monde associatif, services de l'université, etc.)
Les acteurs principaux de ce projet sont :
- Les services de l’université pour la gestion technique et les collectivités territoriales pour un éventuel soutien financier.
- L’équipe pédagogique pour la mise en place concrete du projet, en sensibilisant et formant les maîtres de conferences à l’utilisation de l’interface numérique auprès des étudiants.
- Les étudiants eux-mêmes, au cœur du projet. Ils sont les premiers concernés et devront être capables de faire part de leurs ressentis post-cours.
- Quelles sont les difficultés identifiées à la mise en oeuvre de cette proposition ? (Manque de données, diagnostic nécessaire, cadre réglementaire, etc.)
Les difficultés potentielles rencontrées pourraient être les formations pour les enseignants, le respect du cadre réglementaire lié à l’utilisation des technologies éducatives, ou encore la nécessité d’évaluer régulièrement l’impact sur l’apprentissage. Il faudra également anticiper la réticence de certains professeurs à changer leurs méthodes de travail.
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