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L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste

#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024

Étape 5 sur 5
Suite de la CCE 2024 09/12/2024 - 30/06/2025
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Changements sur "N°42 : Le mentorat comme outil au service des étudiant.e.s"

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Corps du texte

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    Propositions : 2121 ; 2178 ; 2102 ; 2126 ; 2400 (amendement 2126) ; 2423 (amendement 2126) ; 2444 ; 2413

    Contexte

    Les nouveaux arrivants, étudiant·es étrangers ou non, se retrouvent souvent démunis lors de leur arrivée à l’UPEC. Ils éprouvent des difficultés à s’orienter dans la complexité des services administratifs, à comprendre leurs droits et à se repérer dans l’environnement universitaire.

    Le monde de l’enseignement supérieur peut engendrer des situations complexes pour de nombreux étudiant·es. La recherche d’un stage, d’une alternance ou d’une formation future peut s’avérer stressante et frustrante, en particulier lorsqu’ils doivent affronter ces démarches seuls. Certaines filières souffrent d’un manque d’interactions avec le monde professionnel et d’une insuffisance d’informations sur les différentes formations accessibles. Par exemple, d’après un rapport de l’Observatoire de l’alternance, 44 % des candidats ont rencontré des difficultés pour trouver une structure d’accueil pour leur stage ou alternance.

    Ce problème ne cesse de s’intensifier avec l’augmentation annuelle du nombre de candidats.

    Par ailleurs, les étudiant·es éprouvent aussi des difficultés tout au long de leur scolarité à l’université. Par exemple, l’attention des étudiant·es en amphithéâtre tend à diminuer, notamment durant les dernières heures de cours, entraînant une forme de décrochage.

    De nombreux étudiant·es rencontrent également des difficultés à prendre des notes de manière efficace lors des cours magistraux. Ces difficultés ne résultent pas d’un manque de volonté ou de sérieux, mais peuvent être causées par divers facteurs tels que :

    • La fatigue ou la surcharge mentale de l’étudiant.
    • L’inadéquation du discours ou du matériel pédagogique du professeur avec la prise de notes.
    • L’absence de l’étudiant pour des raisons personnelles ou professionnelles.

    Ces obstacles contraignent de nombreux étudiant·es à consacrer un temps considérable à la reprise de leurs notes. Il ne s’agit pas d’une simple relecture ou d’une correction mineure, mais bien d’un travail laborieux qui empiète sur le temps dédié aux révisions. De plus, un étudiant absent ou confronté à des difficultés psychiques ou motrices doit souvent solliciter ses camarades pour obtenir des notes fiables et complètes, ce qui peut s’avérer difficile. Nous estimons que la mise à disposition d’une version écrite du cours n’a qu’un impact limité sur la présence des étudiant·es en amphithéâtre. En effet, les cours interactifs et bien structurés attirent davantage les étudiant·es, même lorsque des supports écrits sont accessibles. Des études démontrent que la qualité et l’originalité de l’enseignement sont des facteur·rices plus déterminants que l’accès aux notes écrites dans le choix des étudiant·es d’assister aux cours.

    Objectifs

    Afin de réduire les inégalités entre étudiant·es, nous proposons la mise en place ou le développement d’un système de mentorat entre étudiant·es. Ce dispositif permettrait de :

    • Accompagner chaque nouvel arrivant via un binôme ou un trinôme de mentorat, quel que soit son niveau d’étude.
    • S’appuyer sur des mentors volontaires, anciens étudiant·es ayant déjà été confrontés aux mêmes problématiques.
    • Faciliter la formation de binôme/ trinôme mentor-mentoré grâce à un formulaire recueillant des informations sur la langue parlée, les centres d’intérêt ou la formation suivie.
    • Renforcer l’épanouissement personnel et l’orientation en permettant aux étudiant·es en quête d’une formation adaptée d’assister à certains cours dans les cursus qui les intéressent (ex. : un étudiant de licence 3 suivant des cours de master).
    • Aider les étudiant·es dans leurs choix d’orientation et leur recherche de contrats/conventions grâce à un mentorat spécifique.
    • Valoriser et éventuellement rémunérer les mentors, afin de soutenir leur engagement.
    • Encourager la coopération et l’entraide entre étudiant·es de l’UPEC, en promouvant des projets collectifs comme la Convention Citoyenne Étudiante.

    Création d’une association de tutorat dédiée

    Le mentorat à l’UPEC pourrait être coordonné par une association dédiée, ayant pour mission de fournir des cours dactylographiés aux étudiant·es. Son fonctionnement s’appuierait sur les principes suivants :

    • Retranscription des cours :
    • Un étudiant ou un binôme ayant déjà suivi un cours X se porte volontaire pour y assister à nouveau et en retranscrire le contenu.
    • La transcription doit être complète, fiable et compréhensible.
    • Trois jours maximum après la séance, la version dactylographiée est transmise au professeur pour validation.
    • Une fois validée, la transcription est mise à disposition sur le site internet de l’association.
    • Bénéfices pour les professeurs :
    • Assurer à tous leurs étudiant·es un accès équitable aux ressources pédagogiques, indépendamment de leurs contraintes personnelles (emploi, problèmes de santé, etc.).
    • Prendre du recul sur la pertinence de leur matériel pédagogique.
    • Identifier les concepts les mieux assimilés par les étudiant·es afin d’améliorer leurs cours.
    • Avantages pour les responsables de matières :
    • Approfondir leur maîtrise de la discipline dont ils ont la charge.
    • Valoriser cette expérience dans une perspective académique ou professionnelle.

    Défis à relever

    Plusieurs obstacles pourraient freiner la mise en œuvre de cette initiative, notamment :

    • Les contraintes logistiques liées à la diversité des formations.
    • Le manque de ressources et de formation pour les mentors.
    • Le risque d’ajouter une charge supplémentaire aux étudiant·es.
    • Une communication insuffisante autour du dispositif.

    La pérennité du dispositif dépendrait principalement de l’engagement d’étudiant·es volontaires.

    Les ressources nécessaires

    La mise en place de cette innovation pourrait être accompagnée et soutenue par les services de l’université, ainsi que par la mobilisation d’étudiant·es volontaires.

    Initiatives similaires

    Toutefois, des initiatives similaires existent déjà en médecine et en droit. Leur extension à d’autres filières nécessiterait un soutien accru de l’administration et des enseignant·es, ainsi qu’une possible valorisation ou rémunération des mentors.

    Les acteur·rices

    • L’administration de l’UPEC serait essentielle pour la mise en place de ce système.
    • L’engagement des étudiant·es serait indispensable pour assurer le bon fonctionnement du dispositif. 



    ", ""]
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Ils éprouvent des difficultés à s’orienter dans la complexité des services administratifs, à comprendre leurs droits et à se repérer dans l’environnement universitaire.</p><p>Le monde de l’enseignement supérieur peut engendrer des situations complexes pour de nombreux étudiant·es. La recherche d’un stage, d’une alternance ou d’une formation future peut s’avérer stressante et frustrante, en particulier lorsqu’ils doivent affronter ces démarches seuls. Certaines filières souffrent d’un manque d’interactions avec le monde professionnel et d’une insuffisance d’informations sur les différentes formations accessibles. Par exemple, d’après un rapport de l’Observatoire de l’alternance, 44 % des candidats ont rencontré des difficultés pour trouver une structure d’accueil pour leur stage ou alternance.</p><p>Ce problème ne cesse de s’intensifier avec l’augmentation annuelle du nombre de candidats.</p><p>Par ailleurs, les étudiant·es éprouvent aussi des difficultés tout au long de leur scolarité à l’université. Par exemple, l’attention des étudiant·es en amphithéâtre tend à diminuer, notamment durant les dernières heures de cours, entraînant une forme de décrochage.</p><p>De nombreux étudiant·es rencontrent également des difficultés à prendre des notes de manière efficace lors des cours magistraux. Ces difficultés ne résultent pas d’un manque de volonté ou de sérieux, mais peuvent être causées par divers facteurs tels que :</p><ul><li>La fatigue ou la surcharge mentale de l’étudiant.</li><li>L’inadéquation du discours ou du matériel pédagogique du professeur avec la prise de notes.</li><li>L’absence de l’étudiant pour des raisons personnelles ou professionnelles.</li></ul><p>Ces obstacles contraignent de nombreux étudiant·es à consacrer un temps considérable à la reprise de leurs notes. Il ne s’agit pas d’une simple relecture ou d’une correction mineure, mais bien d’un travail laborieux qui empiète sur le temps dédié aux révisions. De plus, un étudiant absent ou confronté à des difficultés psychiques ou motrices doit souvent solliciter ses camarades pour obtenir des notes fiables et complètes, ce qui peut s’avérer difficile. Nous estimons que la mise à disposition d’une version écrite du cours n’a qu’un impact limité sur la présence des étudiant·es en amphithéâtre. En effet, les cours interactifs et bien structurés attirent davantage les étudiant·es, même lorsque des supports écrits sont accessibles. Des études démontrent que la qualité et l’originalité de l’enseignement sont des facteur·rices plus déterminants que l’accès aux notes écrites dans le choix des étudiant·es d’assister aux cours.</p><p><strong>Objectifs</strong></p><p>Afin de réduire les inégalités entre étudiant·es, nous proposons la mise en place ou le développement d’un système de mentorat entre étudiant·es. Ce dispositif permettrait de :</p><ul><li><strong>Accompagner chaque nouvel arrivant</strong> via un binôme ou un trinôme de mentorat, quel que soit son niveau d’étude.</li><li><strong>S’appuyer sur des mentors volontaires</strong>, anciens étudiant·es ayant déjà été confrontés aux mêmes problématiques.</li><li><strong>Faciliter la formation de binôme/ trinôme mentor-mentoré</strong> grâce à un formulaire recueillant des informations sur la langue parlée, les centres d’intérêt ou la formation suivie.</li><li><strong>Renforcer l’épanouissement personnel et l’orientation</strong> en permettant aux étudiant·es en quête d’une formation adaptée d’assister à certains cours dans les cursus qui les intéressent (ex. : un étudiant de licence 3 suivant des cours de master).</li><li><strong>Aider les étudiant·es dans leurs choix d’orientation et leur recherche de contrats/conventions</strong> grâce à un mentorat spécifique.</li><li><strong>Valoriser et éventuellement rémunérer les mentors</strong>, afin de soutenir leur engagement.</li><li><strong>Encourager la coopération et l’entraide</strong> entre étudiant·es de l’UPEC, en promouvant des projets collectifs comme la Convention Citoyenne Étudiante.</li></ul><p><strong>Création d’une association de tutorat dédiée</strong></p><p>Le mentorat à l’UPEC pourrait être coordonné par une association dédiée, ayant pour mission de fournir des cours dactylographiés aux étudiant·es. Son fonctionnement s’appuierait sur les principes suivants :</p><ul><li><strong>Retranscription des cours</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Un étudiant ou un binôme ayant déjà suivi un cours X se porte volontaire pour y assister à nouveau et en retranscrire le contenu.</li><li class=\"ql-indent-1\">La transcription doit être complète, fiable et compréhensible.</li><li class=\"ql-indent-1\">Trois jours maximum après la séance, la version dactylographiée est transmise au professeur pour validation.</li><li class=\"ql-indent-1\">Une fois validée, la transcription est mise à disposition sur le site internet de l’association.</li><li><strong>Bénéfices pour les professeurs</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Assurer à tous leurs étudiant·es un accès équitable aux ressources pédagogiques, indépendamment de leurs contraintes personnelles (emploi, problèmes de santé, etc.).</li><li class=\"ql-indent-1\">Prendre du recul sur la pertinence de leur matériel pédagogique.</li><li class=\"ql-indent-1\">Identifier les concepts les mieux assimilés par les étudiant·es afin d’améliorer leurs cours.</li><li><strong>Avantages pour les responsables de matières</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Approfondir leur maîtrise de la discipline dont ils ont la charge.</li><li class=\"ql-indent-1\">Valoriser cette expérience dans une perspective académique ou professionnelle.</li></ul><p><strong>Défis à relever</strong></p><p>Plusieurs obstacles pourraient freiner la mise en œuvre de cette initiative, notamment :</p><ul><li>Les contraintes logistiques liées à la diversité des formations.</li><li>Le manque de ressources et de formation pour les mentors.</li><li>Le risque d’ajouter une charge supplémentaire aux étudiant·es.</li><li>Une communication insuffisante autour du dispositif.</li></ul><p>La pérennité du dispositif dépendrait principalement de l’engagement d’étudiant·es volontaires.</p><p><strong>Les ressources nécessaires</strong></p><p>La mise en place de cette innovation pourrait être accompagnée et soutenue par les services de l’université, ainsi que par la mobilisation d’étudiant·es volontaires.</p><p><strong>Initiatives similaires</strong></p><p>Toutefois, des initiatives similaires existent déjà en médecine et en droit. Leur extension à d’autres filières nécessiterait un soutien accru de l’administration et des enseignant·es, ainsi qu’une possible valorisation ou rémunération des mentors.</p><p><strong>Les acteur·rices</strong></p><ul><li>L’administration de l’UPEC serait essentielle pour la mise en place de ce système.</li><li>L’engagement des étudiant·es serait indispensable pour assurer le bon fonctionnement du dispositif.&nbsp;</li></ul><p><br></p><p> <br></p>", ""]
Suppressions
  • L’inadéquation du discours ou du matériel pédagogique du professeur avec la prise de notes.
  • L’absence de l’étudiant pour des raisons personnelles ou professionnelles.

Ces obstacles contraignent de nombreux étudiant·es à consacrer un temps considérable à la reprise de leurs notes. Il ne s’agit pas d’une simple relecture ou d’une correction mineure, mais bien d’un travail laborieux qui empiète sur le temps dédié aux révisions. De plus, un étudiant absent ou confronté à des difficultés psychiques ou motrices doit souvent solliciter ses camarades pour obtenir des notes fiables et complètes, ce qui peut s’avérer difficile. Nous estimons que la mise à disposition d’une version écrite du cours n’a qu’un impact limité sur la présence des étudiant·es en amphithéâtre. En effet, les cours interactifs et bien structurés attirent davantage les étudiant·es, même lorsque des supports écrits sont accessibles. Des études démontrent que la qualité et l’originalité de l’enseignement sont des facteur·rices plus déterminants que l’accès aux notes écrites dans le choix des étudiant·es d’assister aux cours.

Objectifs

Afin de réduire les inégalités entre étudiant·es, nous proposons la mise en place ou le développement d’un système de mentorat entre étudiant·es. Ce dispositif permettrait de :

  • Accompagner chaque nouvel arrivant via un binôme ou un trinôme de mentorat, quel que soit son niveau d’étude.
  • S’appuyer sur des mentors volontaires, anciens étudiant·es ayant déjà été confrontés aux mêmes problématiques.
  • Faciliter la formation de binôme/ trinôme mentor-mentoré grâce à un formulaire recueillant des informations sur la langue parlée, les centres d’intérêt ou la formation suivie.
  • Renforcer l’épanouissement personnel et l’orientation en permettant aux étudiant·es en quête d’une formation adaptée d’assister à certains cours dans les cursus qui les intéressent (ex. : un étudiant de licence 3 suivant des cours de master).
  • Aider les étudiant·es dans leurs choix d’orientation et leur recherche de contrats/conventions grâce à un mentorat spécifique.
  • Valoriser et éventuellement rémunérer les mentors, afin de soutenir leur engagement.
  • Encourager la coopération et l’entraide entre étudiant·es de l’UPEC, en promouvant des projets collectifs comme la Convention Citoyenne Étudiante.

Création d’une association de tutorat dédiée

Le mentorat à l’UPEC pourrait être coordonné par une association dédiée, ayant pour mission de fournir des cours dactylographiés aux étudiant·es. Son fonctionnement s’appuierait sur les principes suivants :

  • Retranscription des cours :
  • Un étudiant ou un binôme ayant déjà suivi un cours X se porte volontaire pour y assister à nouveau et en retranscrire le contenu.
  • La transcription doit être complète, fiable et compréhensible.
  • Trois jours maximum après la séance, la version dactylographiée est transmise au professeur pour validation.
  • Une fois validée, la transcription est mise à disposition sur le site internet de l’association.
  • Bénéfices pour les professeurs :
  • Assurer à tous leurs étudiant·es un accès équitable aux ressources pédagogiques, indépendamment de leurs contraintes personnelles (emploi, problèmes de santé, etc.).
  • Prendre du recul sur la pertinence de leur matériel pédagogique.
  • Identifier les concepts les mieux assimilés par les étudiant·es afin d’améliorer leurs cours.
  • Avantages pour les responsables de matières :
  • Approfondir leur maîtrise de la discipline dont ils ont la charge.
  • Valoriser cette expérience dans une perspective académique ou professionnelle.

Défis à relever

Plusieurs obstacles pourraient freiner la mise en œuvre de cette initiative, notamment :

  • Les contraintes logistiques liées à la diversité des formations.
  • Le manque de ressources et de formation pour les mentors.
  • Le risque d’ajouter une charge supplémentaire aux étudiant·es.
  • Une communication insuffisante autour du dispositif.

La pérennité du dispositif dépendrait principalement de l’engagement d’étudiant·es volontaires.

Les ressources nécessaires

La mise en place de cette innovation pourrait être accompagnée et soutenue par les services de l’université, ainsi que par la mobilisation d’étudiant·es volontaires.

Initiatives similaires

Toutefois, des initiatives similaires existent déjà en médecine et en droit. Leur extension à d’autres filières nécessiterait un soutien accru de l’administration et des enseignant·es, ainsi qu’une possible valorisation ou rémunération des mentors.

Les acteur·rices

  • L’administration de l’UPEC serait essentielle pour la mise en place de ce système.
  • L’engagement des étudiant·es serait indispensable pour assurer le bon fonctionnement du dispositif. 



", ""]
Ajouts
  • +["

    Propositions : 2121 ; 2178 ; 2102 ; 2126 ; 2400 (amendement 2126) ; 2423 (amendement 2126) ; 2444 ; 2413

    Contexte

    Les nouveaux arrivants, étudiant·es étrangers ou non, se retrouvent souvent démunis lors de leur arrivée à l’UPEC. Ils éprouvent des difficultés à s’orienter dans la complexité des services administratifs, à comprendre leurs droits et à se repérer dans l’environnement universitaire.

    Le monde de l’enseignement supérieur peut engendrer des situations complexes pour de nombreux étudiant·es. La recherche d’un stage, d’une alternance ou d’une formation future peut s’avérer stressante et frustrante, en particulier lorsqu’ils doivent affronter ces démarches seuls. Certaines filières souffrent d’un manque d’interactions avec le monde professionnel et d’une insuffisance d’informations sur les différentes formations accessibles. Par exemple, d’après un rapport de l’Observatoire de l’alternance, 44 % des candidats ont rencontré des difficultés pour trouver une structure d’accueil pour leur stage ou alternance.

    Ce problème ne cesse de s’intensifier avec l’augmentation annuelle du nombre de candidats.

    Par ailleurs, les étudiant·es éprouvent aussi des difficultés tout au long de leur scolarité à l’université. Par exemple, l’attention des étudiant·es en amphithéâtre tend à diminuer, notamment durant les dernières heures de cours, entraînant une forme de décrochage.

    De nombreux étudiant·es rencontrent également des difficultés à prendre des notes de manière efficace lors des cours magistraux. Ces difficultés ne résultent pas d’un manque de volonté ou de sérieux, mais peuvent être causées par divers facteurs tels que :

    • La fatigue ou la surcharge mentale de l’étudiant.
    • L’inadéquation du discours ou du matériel pédagogique du professeur avec la prise de notes.
    • L’absence de l’étudiant pour des raisons personnelles ou professionnelles.

    Ces obstacles contraignent de nombreux étudiant·es à consacrer un temps considérable à la reprise de leurs notes. Il ne s’agit pas d’une simple relecture ou d’une correction mineure, mais bien d’un travail laborieux qui empiète sur le temps dédié aux révisions. De plus, un étudiant absent ou confronté à des difficultés psychiques ou motrices doit souvent solliciter ses camarades pour obtenir des notes fiables et complètes, ce qui peut s’avérer difficile. Nous estimons que la mise à disposition d’une version écrite du cours n’a qu’un impact limité sur la présence des étudiant·es en amphithéâtre. En effet, les cours interactifs et bien structurés attirent davantage les étudiant·es, même lorsque des supports écrits sont accessibles. Des études démontrent que la qualité et l’originalité de l’enseignement sont des facteur·rices plus déterminants que l’accès aux notes écrites dans le choix des étudiant·es d’assister aux cours.

    Objectifs

    Afin de réduire les inégalités entre étudiant·es, nous proposons la mise en place ou le développement d’un système de mentorat entre étudiant·es. Ce dispositif permettrait de :

    • Accompagner chaque nouvel arrivant via un binôme ou un trinôme de mentorat, quel que soit son niveau d’étude.
    • S’appuyer sur des mentors volontaires, anciens étudiant·es ayant déjà été confrontés aux mêmes problématiques.
    • Faciliter la formation de binôme/ trinôme mentor-mentoré grâce à un formulaire recueillant des informations sur la langue parlée, les centres d’intérêt ou la formation suivie.
    • Renforcer l’épanouissement personnel et l’orientation en permettant aux étudiant·es en quête d’une formation adaptée d’assister à certains cours dans les cursus qui les intéressent (ex. : un étudiant de licence 3 suivant des cours de master).
    • Aider les étudiant·es dans leurs choix d’orientation et leur recherche de contrats/conventions grâce à un mentorat spécifique.
    • Valoriser et éventuellement rémunérer les mentors, afin de soutenir leur engagement.
    • Encourager la coopération et l’entraide entre étudiant·es de l’UPEC, en promouvant des projets collectifs comme la Convention Citoyenne Étudiante.

    Création d’une association de tutorat dédiée

    Le mentorat à l’UPEC pourrait être coordonné par une association dédiée, ayant pour mission de fournir des cours dactylographiés aux étudiant·es. Son fonctionnement s’appuierait sur les principes suivants :

    • Retranscription des cours :
    • Un étudiant ou un binôme ayant déjà suivi un cours X se porte volontaire pour y assister à nouveau et en retranscrire le contenu.
    • La transcription doit être complète, fiable et compréhensible.
    • Trois jours maximum après la séance, la version dactylographiée est transmise au professeur pour validation.
    • Une fois validée, la transcription est mise à disposition sur le site internet de l’association.
    • Bénéfices pour les professeurs :
    • Assurer à tous leurs étudiant·es un accès équitable aux ressources pédagogiques, indépendamment de leurs contraintes personnelles (emploi, problèmes de santé, etc.).
    • Prendre du recul sur la pertinence de leur matériel pédagogique.
    • Identifier les concepts les mieux assimilés par les étudiant·es afin d’améliorer leurs cours.
    • Avantages pour les responsables de matières :
    • Approfondir leur maîtrise de la discipline dont ils ont la charge.
    • Valoriser cette expérience dans une perspective académique ou professionnelle.

    Défis à relever

    Plusieurs obstacles pourraient freiner la mise en œuvre de cette initiative, notamment :

    • Les contraintes logistiques liées à la diversité des formations.
    • Le manque de ressources et de formation pour les mentors.
    • Le risque d’ajouter une charge supplémentaire aux étudiant·es.
    • Une communication insuffisante autour du dispositif.

    La pérennité du dispositif dépendrait principalement de l’engagement d’étudiant·es volontaires.

    Les ressources nécessaires

    La mise en place de cette innovation pourrait être accompagnée et soutenue par les services de l’université, ainsi que par la mobilisation d’étudiant·es volontaires.

    Initiatives similaires

    Toutefois, des initiatives similaires existent déjà en médecine et en droit. Leur extension à d’autres filières nécessiterait un soutien accru de l’administration et des enseignant·es, ainsi qu’une possible valorisation ou rémunération des mentors.

    Les acteur·rices

    • L’administration de l’UPEC serait essentielle pour la mise en place de ce système.
    • L’engagement des étudiant·es serait indispensable pour assurer le bon fonctionnement du dispositif. 



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Suppressions
Ajouts
  • +["<p> Propositions : <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2121\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2121</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2178\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2178</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2102\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2102</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2126\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2126</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2400\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2400</a> (amendement 2126)&nbsp;; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2423\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2423</a> (amendement 2126)&nbsp;; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2444\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2444</a> ; 2413</p><p> <strong>Contexte</strong></p><p>Les nouveaux arrivants, étudiant·es étrangers ou non, se retrouvent souvent démunis lors de leur arrivée à l’UPEC. Ils éprouvent des difficultés à s’orienter dans la complexité des services administratifs, à comprendre leurs droits et à se repérer dans l’environnement universitaire.</p><p>Le monde de l’enseignement supérieur peut engendrer des situations complexes pour de nombreux étudiant·es. La recherche d’un stage, d’une alternance ou d’une formation future peut s’avérer stressante et frustrante, en particulier lorsqu’ils doivent affronter ces démarches seuls. Certaines filières souffrent d’un manque d’interactions avec le monde professionnel et d’une insuffisance d’informations sur les différentes formations accessibles. Par exemple, d’après un rapport de l’Observatoire de l’alternance, 44 % des candidats ont rencontré des difficultés pour trouver une structure d’accueil pour leur stage ou alternance.</p><p>Ce problème ne cesse de s’intensifier avec l’augmentation annuelle du nombre de candidats.</p><p>Par ailleurs, les étudiant·es éprouvent aussi des difficultés tout au long de leur scolarité à l’université. Par exemple, l’attention des étudiant·es en amphithéâtre tend à diminuer, notamment durant les dernières heures de cours, entraînant une forme de décrochage.</p><p>De nombreux étudiant·es rencontrent également des difficultés à prendre des notes de manière efficace lors des cours magistraux. Ces difficultés ne résultent pas d’un manque de volonté ou de sérieux, mais peuvent être causées par divers facteurs tels que :</p><ul><li>La fatigue ou la surcharge mentale de l’étudiant.</li><li>L’inadéquation du discours ou du matériel pédagogique du professeur avec la prise de notes.</li><li>L’absence de l’étudiant pour des raisons personnelles ou professionnelles.</li></ul><p>Ces obstacles contraignent de nombreux étudiant·es à consacrer un temps considérable à la reprise de leurs notes. Il ne s’agit pas d’une simple relecture ou d’une correction mineure, mais bien d’un travail laborieux qui empiète sur le temps dédié aux révisions. De plus, un étudiant absent ou confronté à des difficultés psychiques ou motrices doit souvent solliciter ses camarades pour obtenir des notes fiables et complètes, ce qui peut s’avérer difficile. Nous estimons que la mise à disposition d’une version écrite du cours n’a qu’un impact limité sur la présence des étudiant·es en amphithéâtre. En effet, les cours interactifs et bien structurés attirent davantage les étudiant·es, même lorsque des supports écrits sont accessibles. Des études démontrent que la qualité et l’originalité de l’enseignement sont des facteur·rices plus déterminants que l’accès aux notes écrites dans le choix des étudiant·es d’assister aux cours.</p><p><strong>Objectifs</strong></p><p>Afin de réduire les inégalités entre étudiant·es, nous proposons la mise en place ou le développement d’un système de mentorat entre étudiant·es. Ce dispositif permettrait de :</p><ul><li><strong>Accompagner chaque nouvel arrivant</strong> via un binôme ou un trinôme de mentorat, quel que soit son niveau d’étude.</li><li><strong>S’appuyer sur des mentors volontaires</strong>, anciens étudiant·es ayant déjà été confrontés aux mêmes problématiques.</li><li><strong>Faciliter la formation de binôme/ trinôme mentor-mentoré</strong> grâce à un formulaire recueillant des informations sur la langue parlée, les centres d’intérêt ou la formation suivie.</li><li><strong>Renforcer l’épanouissement personnel et l’orientation</strong> en permettant aux étudiant·es en quête d’une formation adaptée d’assister à certains cours dans les cursus qui les intéressent (ex. : un étudiant de licence 3 suivant des cours de master).</li><li><strong>Aider les étudiant·es dans leurs choix d’orientation et leur recherche de contrats/conventions</strong> grâce à un mentorat spécifique.</li><li><strong>Valoriser et éventuellement rémunérer les mentors</strong>, afin de soutenir leur engagement.</li><li><strong>Encourager la coopération et l’entraide</strong> entre étudiant·es de l’UPEC, en promouvant des projets collectifs comme la Convention Citoyenne Étudiante.</li></ul><p><strong>Création d’une association de tutorat dédiée</strong></p><p>Le mentorat à l’UPEC pourrait être coordonné par une association dédiée, ayant pour mission de fournir des cours dactylographiés aux étudiant·es. Son fonctionnement s’appuierait sur les principes suivants :</p><ul><li><strong>Retranscription des cours</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Un étudiant ou un binôme ayant déjà suivi un cours X se porte volontaire pour y assister à nouveau et en retranscrire le contenu.</li><li class=\"ql-indent-1\">La transcription doit être complète, fiable et compréhensible.</li><li class=\"ql-indent-1\">Trois jours maximum après la séance, la version dactylographiée est transmise au professeur pour validation.</li><li class=\"ql-indent-1\">Une fois validée, la transcription est mise à disposition sur le site internet de l’association.</li><li><strong>Bénéfices pour les professeurs</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Assurer à tous leurs étudiant·es un accès équitable aux ressources pédagogiques, indépendamment de leurs contraintes personnelles (emploi, problèmes de santé, etc.).</li><li class=\"ql-indent-1\">Prendre du recul sur la pertinence de leur matériel pédagogique.</li><li class=\"ql-indent-1\">Identifier les concepts les mieux assimilés par les étudiant·es afin d’améliorer leurs cours.</li><li><strong>Avantages pour les responsables de matières</strong> :</li><li class=\"ql-indent-1\">Approfondir leur maîtrise de la discipline dont ils ont la charge.</li><li class=\"ql-indent-1\">Valoriser cette expérience dans une perspective académique ou professionnelle.</li></ul><p><strong>Défis à relever</strong></p><p>Plusieurs obstacles pourraient freiner la mise en œuvre de cette initiative, notamment :</p><ul><li>Les contraintes logistiques liées à la diversité des formations.</li><li>Le manque de ressources et de formation pour les mentors.</li><li>Le risque d’ajouter une charge supplémentaire aux étudiant·es.</li><li>Une communication insuffisante autour du dispositif.</li></ul><p>La pérennité du dispositif dépendrait principalement de l’engagement d’étudiant·es volontaires.</p><p><strong>Les ressources nécessaires</strong></p><p>La mise en place de cette innovation pourrait être accompagnée et soutenue par les services de l’université, ainsi que par la mobilisation d’étudiant·es volontaires.</p><p><strong>Initiatives similaires</strong></p><p>Toutefois, des initiatives similaires existent déjà en médecine et en droit. Leur extension à d’autres filières nécessiterait un soutien accru de l’administration et des enseignant·es, ainsi qu’une possible valorisation ou rémunération des mentors.</p><p><strong>Les acteur·rices</strong></p><ul><li>L’administration de l’UPEC serait essentielle pour la mise en place de ce système.</li><li>L’engagement des étudiant·es serait indispensable pour assurer le bon fonctionnement du dispositif.&nbsp;</li></ul><p><br></p><p> <br></p>", ""]
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