L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste

• Autoriser les étudiant·es résidant loin du campus à bénéficier systématiquement de cours en distanciel.
• Standardiser le format hybride en réservant l’accès à l’enseignement à distance aux étudiant·es ayant moins de deux cours par jour, tout en mettant en place un système fiable de vérification de présence.
• Compléter et intégrer cette initiative avec l’espace d’e-learning actuellement en projet à l’UPEC.

Défis à relever

La mise en place d’un modèle hybride soulève plusieurs défis majeurs :

• Assurer l’équité entre les formats d’enseignement afin que les étudiant·es en distanciel bénéficient d’une expérience d’apprentissage aussi riche que ceux en présentiel.
• Encourager l’engagement des étudiant·es à distance, en évitant le décrochage et en garantissant une participation active.
• Protéger les données personnelles, notamment en ce qui concerne l’enregistrement des cours et le suivi des présences en ligne.

Le développement d’une application centralisée dédiée à l’enseignement hybride pourrait sembler une solution idéale, mais sa création s’avère complexe et potentiellement très coûteuse. Il serait donc peut être préférable d’exploiter les plateformes existantes pour minimiser les frais et faciliter la transition numérique.

Enfin, bien que l’hybridation des cours présente de nombreux avantages, elle doit être mise en œuvre avec équilibre. Un usage excessif du distanciel pourrait entraîner une baisse de la fréquentation en présentiel, alors que ce dernier demeure essentiel pour garantir un apprentissage de qualité. Il est donc important de considérer le distanciel comme une alternative bénéfique, mais complémentaire au présentiel et non comme un substitut systématique.

Les ressources nécessaires 

Pour garantir la réussite de cette transition, il est nécessaire d’allouer un budget spécifique afin de financer :

• L’achat de matériel informatique performant.
• La mise en place d’un service de prêt d’équipements pour les étudiant·es n’ayant pas les ressources nécessaires.
• La formation des enseignant·es aux nouvelles pratiques pédagogiques adaptées à l’enseignement hybride.

Les acteur·rices importants

• Les étudiant·es, premiers concernés par ces nouvelles modalités d’apprentissage.
• Les enseignant·es, qui devront adapter leurs méthodes pédagogiques à l’hybridation des cours.
• Les services techniques, chargés de la mise en place et de la maintenance des outils numériques.
• L’administration de l’UPEC, qui devra coordonner les initiatives et garantir un déploiement cohérent à l’échelle de l’établissement.

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  Propositions : 2075 + amendement ; 2095 ; 2321 (amendement de 2095)

  Contexte

  Pour réduire les déplacements inutiles et contraignants, en particulier lors des journées où un seul cours est prévu ou pour les étudiant·es résidant loin des campus, il devient indispensable de repenser l’organisation des enseignements. Un modèle hybride offrirait une meilleure prise en compte des divers profils étudiant·es, notamment ceux en situation de handicap (PMR), souffrant de phobie scolaire ou faisant face à des contraintes personnelles et géographiques.

  Objectifs

  L’objectif est de développer des formations hybrides en combinant les cours en présentiel et à distance. 

  L’instauration d’un format hybride contribue à une réduction des inégalités d’accès à l’éducation, tout en offrant une plus grande flexibilité face aux contraintes de temps et de déplacement. Par ailleurs, l’intégration du numérique favorise une meilleure révision des enseignements grâce à des ressources accessibles en ligne, permettant aux étudiant·es de suivre les cours en cas d’imprévus ou de situations exceptionnelles, comme une urgence sanitaire.

  Afin d’assurer une mise en œuvre efficace, plusieurs mesures doivent être adoptées :

  • Permettre aux étudiant·es de suivre les cours à distance lorsqu’ils ne souhaitent pas ou ne peuvent pas se déplacer.
  • Autoriser les étudiant·es résidant loin du campus à bénéficier systématiquement de cours en distanciel.
  • Standardiser le format hybride en réservant l’accès à l’enseignement à distance aux étudiant·es ayant moins de deux cours par jour, tout en mettant en place un système fiable de vérification de présence.
  • Compléter et intégrer cette initiative avec l’espace d’e-learning actuellement en projet à l’UPEC.

  Défis à relever

  La mise en place d’un modèle hybride soulève plusieurs défis majeurs :

  • Assurer l’équité entre les formats d’enseignement afin que les étudiant·es en distanciel bénéficient d’une expérience d’apprentissage aussi riche que ceux en présentiel.
  • Encourager l’engagement des étudiant·es à distance, en évitant le décrochage et en garantissant une participation active.
  • Protéger les données personnelles, notamment en ce qui concerne l’enregistrement des cours et le suivi des présences en ligne.

  Le développement d’une application centralisée dédiée à l’enseignement hybride pourrait sembler une solution idéale, mais sa création s’avère complexe et potentiellement très coûteuse. Il serait donc peut être préférable d’exploiter les plateformes existantes pour minimiser les frais et faciliter la transition numérique.

  Enfin, bien que l’hybridation des cours présente de nombreux avantages, elle doit être mise en œuvre avec équilibre. Un usage excessif du distanciel pourrait entraîner une baisse de la fréquentation en présentiel, alors que ce dernier demeure essentiel pour garantir un apprentissage de qualité. Il est donc important de considérer le distanciel comme une alternative bénéfique, mais complémentaire au présentiel et non comme un substitut systématique.

  Les ressources nécessaires 

  Pour garantir la réussite de cette transition, il est nécessaire d’allouer un budget spécifique afin de financer :

  • L’achat de matériel informatique performant.
  • La mise en place d’un service de prêt d’équipements pour les étudiant·es n’ayant pas les ressources nécessaires.
  • La formation des enseignant·es aux nouvelles pratiques pédagogiques adaptées à l’enseignement hybride.

  Les acteur·rices importants

  • Les étudiant·es, premiers concernés par ces nouvelles modalités d’apprentissage.
  • Les enseignant·es, qui devront adapter leurs méthodes pédagogiques à l’hybridation des cours.
  • Les services techniques, chargés de la mise en place et de la maintenance des outils numériques.
  • L’administration de l’UPEC, qui devra coordonner les initiatives et garantir un déploiement cohérent à l’échelle de l’établissement.

  
  

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