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L'université de l'avenir - Agir pour une transformation écologique et sociale juste

#CCE2024 Convention Citoyenne Étudiante 2024

Étape 5 sur 5
Suite de la CCE 2024 09/12/2024 - 30/06/2025
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Changements sur "N°73 : Former les communautés de l’université aux enjeux environnementaux et à la transition écologique"

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Corps du texte

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    Propositions :2128 ; 2161 ; 2069 ; 2334 (amendement de 2069) ; 2084 ; 2316 (amendement de 2084) ; 2384 ; 2190

    Contexte

    Les étudiant·es manquent de sensibilisation aux enjeux environnementaux, économiques et sociétaux, notamment dans les filières non spécialisées, où ce déficit de connaissances et d'engagement est plus prononcé. Cela résulte en grande partie d’un manque de formation des enseignant·es, qui n’ont pas toujours les outils nécessaires pour intégrer ces thématiques dans leurs cours. Par ailleurs, l’université offre encore trop peu de formations pratiques et interdisciplinaires permettant d’aborder ces enjeux de manière concrète. L'absence de lien avec le monde artistique et culturel limite également l'adoption d'une approche plus créative et engageante de la transition écologique.

    Objectifs

    Cette proposition vise à sensibiliser l’ensemble des étudiant.es, quelle que soit leur filière, y compris celles et ceux des filières généralistes, aux enjeux environnementaux et à leur fournir des outils pratiques pour agir.

    L’objectif est de permettre aux étudiant·es de mieux comprendre et de s’impliquer dans les problématiques actuelles grâce à des stages, des projets concrets et des échanges interdisciplinaires. Il s’agit aussi de conjuguer actions et théorie, un rôle que la CCE a déjà commencé à remplir.

    Un accent particulier sera mis sur les études à l’étranger, ainsi que sur des programmes et formations actualisés régulièrement. L’intégration d’exemples concrets de problématiques actuelles dans les cours permettra aux étudiant·es de mieux appréhender le monde dans lequel nous vivons, tout en leur offrant une vision moins abstraite des enjeux actuels.

    En outre, une approche plus interactive sera adoptée par l’organisation des conférences dites \"artistiques\", où les étudiant·es pourront participer à des projections cinématographiques ou des représentations théâtrales suivies de débats avec les intervenants.

    Des cours interactifs seront proposés, où l’évaluation prendra la forme d’un projet à rendre, portant sur des problématiques environnementales.

    Cette proposition inclut également la formation des enseignant.es aux enjeux de la transition écologique, afin qu'ils·elles puissent les intégrer dans leurs enseignements.

    Formation des enseignant·es

    Les formations proposées auront pour objectif de permettre aux enseignant.es de :

    • Proposer des formations pratiques et interdisciplinaires sur les enjeux environnementaux.
    • Renforcer les liens avec le monde artistique, en les formant à l’organisation de conférences académiques et artistiques
    • Proposer des outils de sensibilisation plus interactif

    Exemples d’application

    Il serait nécessaire de réaliser un diagnostic pour identifier les besoins des étudiants concernant le besoin de formation/ sensibilisation aux enjeux environnementaux. Il serait intéressant de créer une UE obligatoire en L1, optionnelle en L2 et L3, et éventuellement poursuivie en master. Cette UE pourrait être déployée en plusieurs phases :

    1. Une première phase où l’UE serait abordée sous le prisme spécifique de chaque filière, afin d’intéresser les étudiant·es.
    2. Une deuxième phase centrée sur des échanges interdisciplinaires, favorisant le partage d’expériences entre étudiant·es de différentes formations.

    Une UE sur les sujets environnementaux de 3 ECTS pourrait être intégrée dès la L2 d’ici 2027, comme recommandé dans le rapport Jouzel-Abbadie.

    Une SAÉ centrée sur l’écologie, adaptée à chaque filière, permettrait d’appliquer concrètement les connaissances acquises, tout en privilégiant une approche optimiste et en proposant des solutions concrètes et locales face aux enjeux environnementaux, sans démoraliser les étudiant·es.

    Défis à relever

    • Formation des enseignant·es : il est nécessaire de trouver des organismes qualifiés pour la formation, tout en surmontant les contraintes de temps et de ressources.
    • Réforme du système éducatif : moderniser les cursus universitaires et intégrer des enseignements environnementaux obligatoires dans toutes les filières.
    • Manque de moyens : financement limité, difficultés à trouver des intervenants qualifiés et à adapter les emplois du temps.
    • Engagement des étudiant·es : il est crucial de faire face à un éventuel désintérêt ou à des préjugés concernant la transition écologique.
    • Complexité administrative : il faudra identifier les besoins spécifiques des étudiant·es et mettre en place des structures adaptées.

    Ressources nécessaires

    • Ressources humaines : enseignant·es formé·es, maîtres de conférences, spécialistes et intervenant·es externes.
    • Ressources financières : financement pour des bourses, l’organisation d'événements, stages et partenariats.
    • Ressources matérielles : ordinateurs, caméras pour les formations hybrides, infrastructures adaptées pour les conférences et activités interdisciplinaires.

    Acteur.rices

    • Enseignant·es
    • Étudiant·es
    • Université


    ", ""]
  • +["<p>Propositions :<a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2128\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2128</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2161\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2161</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2069\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2069</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2334\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2334</a> (amendement de 2069) ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2084\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2084</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2316\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2316</a> (amendement de 2084) ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2384\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2384</a> ; <a href=\"gid://development-app/Decidim::Proposals::Proposal/2190\" rel=\"noopener noreferrer\" target=\"_blank\">2190</a></p><p> <strong>Contexte</strong></p><p>Les étudiant·es manquent de sensibilisation aux enjeux environnementaux, économiques et sociétaux, notamment dans les filières non spécialisées, où ce déficit de connaissances et d'engagement est plus prononcé. Cela résulte en grande partie d’un manque de formation des enseignant·es, qui n’ont pas toujours les outils nécessaires pour intégrer ces thématiques dans leurs cours. Par ailleurs, l’université offre encore trop peu de formations pratiques et interdisciplinaires permettant d’aborder ces enjeux de manière concrète. L'absence de lien avec le monde artistique et culturel limite également l'adoption d'une approche plus créative et engageante de la transition écologique.</p><p><strong>Objectifs</strong></p><p>Cette proposition vise à sensibiliser l’ensemble des étudiant.es, quelle que soit leur filière, y compris celles et ceux des filières généralistes, aux enjeux environnementaux et à leur fournir des outils pratiques pour agir.</p><p>L’objectif est de permettre aux étudiant·es de mieux comprendre et de s’impliquer dans les problématiques actuelles grâce à des stages, des projets concrets et des échanges interdisciplinaires. Il s’agit aussi de conjuguer actions et théorie, un rôle que la CCE a déjà commencé à remplir.</p><p>Un accent particulier sera mis sur les études à l’étranger, ainsi que sur des programmes et formations actualisés régulièrement. L’intégration d’exemples concrets de problématiques actuelles dans les cours permettra aux étudiant·es de mieux appréhender le monde dans lequel nous vivons, tout en leur offrant une vision moins abstraite des enjeux actuels.</p><p>En outre, une approche plus interactive sera adoptée par l’organisation des conférences dites \"artistiques\", où les étudiant·es pourront participer à des projections cinématographiques ou des représentations théâtrales suivies de débats avec les intervenants.</p><p>Des cours interactifs seront proposés, où l’évaluation prendra la forme d’un projet à rendre, portant sur des problématiques environnementales.</p><p>Cette proposition inclut également la formation des enseignant.es aux enjeux de la transition écologique, afin qu'ils·elles puissent les intégrer dans leurs enseignements.</p><p><strong>Formation des enseignant·es</strong></p><p>Les formations proposées auront pour objectif de permettre aux enseignant.es de :</p><ul><li>Proposer des formations pratiques et interdisciplinaires sur les enjeux environnementaux.</li><li>Renforcer les liens avec le monde artistique, en les formant à l’organisation de conférences académiques et artistiques</li><li>Proposer des outils de sensibilisation plus interactif</li></ul><p><strong>Exemples d’application</strong></p><p>Il serait nécessaire de réaliser un diagnostic pour identifier les besoins des étudiants concernant le besoin de formation/ sensibilisation aux enjeux environnementaux. Il serait intéressant de créer une UE obligatoire en L1, optionnelle en L2 et L3, et éventuellement poursuivie en master. Cette UE pourrait être déployée en plusieurs phases :</p><ol><li>Une première phase où l’UE serait abordée sous le prisme spécifique de chaque filière, afin d’intéresser les étudiant·es.</li><li>Une deuxième phase centrée sur des échanges interdisciplinaires, favorisant le partage d’expériences entre étudiant·es de différentes formations.</li></ol><p>Une UE sur les sujets environnementaux de 3 ECTS pourrait être intégrée dès la L2 d’ici 2027, comme recommandé dans le rapport Jouzel-Abbadie.</p><p>Une SAÉ centrée sur l’écologie, adaptée à chaque filière, permettrait d’appliquer concrètement les connaissances acquises, tout en privilégiant une approche optimiste et en proposant des solutions concrètes et locales face aux enjeux environnementaux, sans démoraliser les étudiant·es.</p><p><strong>Défis à relever</strong></p><ul><li><strong>Formation des enseignant·es</strong> : il est nécessaire de trouver des organismes qualifiés pour la formation, tout en surmontant les contraintes de temps et de ressources.</li><li><strong>Réforme du système éducatif</strong> : moderniser les cursus universitaires et intégrer des enseignements environnementaux obligatoires dans toutes les filières.</li><li><strong>Manque de moyens</strong> : financement limité, difficultés à trouver des intervenants qualifiés et à adapter les emplois du temps.</li><li><strong>Engagement des étudiant·es</strong> : il est crucial de faire face à un éventuel désintérêt ou à des préjugés concernant la transition écologique.</li><li><strong>Complexité administrative</strong> : il faudra identifier les besoins spécifiques des étudiant·es et mettre en place des structures adaptées.</li></ul><p><strong>Ressources nécessaires</strong></p><ul><li><strong>Ressources humaines</strong> : enseignant·es formé·es, maîtres de conférences, spécialistes et intervenant·es externes.</li><li><strong>Ressources financières</strong> : financement pour des bourses, l’organisation d'événements, stages et partenariats.</li><li><strong>Ressources matérielles</strong> : ordinateurs, caméras pour les formations hybrides, infrastructures adaptées pour les conférences et activités interdisciplinaires.</li></ul><p><strong>Acteur.rices</strong></p><ul><li>Enseignant·es</li><li>Étudiant·es</li><li>Université</li></ul><p> <br></p>", ""]
Suppressions
  • Renforcer les liens avec le monde artistique, en les formant à l’organisation de conférences académiques et artistiques
  • Proposer des outils de sensibilisation plus interactif

Exemples d’application

Il serait nécessaire de réaliser un diagnostic pour identifier les besoins des étudiants concernant le besoin de formation/ sensibilisation aux enjeux environnementaux. Il serait intéressant de créer une UE obligatoire en L1, optionnelle en L2 et L3, et éventuellement poursuivie en master. Cette UE pourrait être déployée en plusieurs phases :

  1. Une première phase où l’UE serait abordée sous le prisme spécifique de chaque filière, afin d’intéresser les étudiant·es.
  2. Une deuxième phase centrée sur des échanges interdisciplinaires, favorisant le partage d’expériences entre étudiant·es de différentes formations.

Une UE sur les sujets environnementaux de 3 ECTS pourrait être intégrée dès la L2 d’ici 2027, comme recommandé dans le rapport Jouzel-Abbadie.

Une SAÉ centrée sur l’écologie, adaptée à chaque filière, permettrait d’appliquer concrètement les connaissances acquises, tout en privilégiant une approche optimiste et en proposant des solutions concrètes et locales face aux enjeux environnementaux, sans démoraliser les étudiant·es.

Défis à relever

  • Formation des enseignant·es : il est nécessaire de trouver des organismes qualifiés pour la formation, tout en surmontant les contraintes de temps et de ressources.
  • Réforme du système éducatif : moderniser les cursus universitaires et intégrer des enseignements environnementaux obligatoires dans toutes les filières.
  • Manque de moyens : financement limité, difficultés à trouver des intervenants qualifiés et à adapter les emplois du temps.
  • Engagement des étudiant·es : il est crucial de faire face à un éventuel désintérêt ou à des préjugés concernant la transition écologique.
  • Complexité administrative : il faudra identifier les besoins spécifiques des étudiant·es et mettre en place des structures adaptées.

Ressources nécessaires

  • Ressources humaines : enseignant·es formé·es, maîtres de conférences, spécialistes et intervenant·es externes.
  • Ressources financières : financement pour des bourses, l’organisation d'événements, stages et partenariats.
  • Ressources matérielles : ordinateurs, caméras pour les formations hybrides, infrastructures adaptées pour les conférences et activités interdisciplinaires.

Acteur.rices

  • Enseignant·es
  • Étudiant·es
  • Université


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  • +["

    Propositions :2128 ; 2161 ; 2069 ; 2334 (amendement de 2069) ; 2084 ; 2316 (amendement de 2084) ; 2384 ; 2190

    Contexte

    Les étudiant·es manquent de sensibilisation aux enjeux environnementaux, économiques et sociétaux, notamment dans les filières non spécialisées, où ce déficit de connaissances et d'engagement est plus prononcé. Cela résulte en grande partie d’un manque de formation des enseignant·es, qui n’ont pas toujours les outils nécessaires pour intégrer ces thématiques dans leurs cours. Par ailleurs, l’université offre encore trop peu de formations pratiques et interdisciplinaires permettant d’aborder ces enjeux de manière concrète. L'absence de lien avec le monde artistique et culturel limite également l'adoption d'une approche plus créative et engageante de la transition écologique.

    Objectifs

    Cette proposition vise à sensibiliser l’ensemble des étudiant.es, quelle que soit leur filière, y compris celles et ceux des filières généralistes, aux enjeux environnementaux et à leur fournir des outils pratiques pour agir.

    L’objectif est de permettre aux étudiant·es de mieux comprendre et de s’impliquer dans les problématiques actuelles grâce à des stages, des projets concrets et des échanges interdisciplinaires. Il s’agit aussi de conjuguer actions et théorie, un rôle que la CCE a déjà commencé à remplir.

    Un accent particulier sera mis sur les études à l’étranger, ainsi que sur des programmes et formations actualisés régulièrement. L’intégration d’exemples concrets de problématiques actuelles dans les cours permettra aux étudiant·es de mieux appréhender le monde dans lequel nous vivons, tout en leur offrant une vision moins abstraite des enjeux actuels.

    En outre, une approche plus interactive sera adoptée par l’organisation des conférences dites \"artistiques\", où les étudiant·es pourront participer à des projections cinématographiques ou des représentations théâtrales suivies de débats avec les intervenants.

    Des cours interactifs seront proposés, où l’évaluation prendra la forme d’un projet à rendre, portant sur des problématiques environnementales.

    Cette proposition inclut également la formation des enseignant.es aux enjeux de la transition écologique, afin qu'ils·elles puissent les intégrer dans leurs enseignements.

    Formation des enseignant·es

    Les formations proposées auront pour objectif de permettre aux enseignant.es de :

    • Proposer des formations pratiques et interdisciplinaires sur les enjeux environnementaux.
    • Renforcer les liens avec le monde artistique, en les formant à l’organisation de conférences académiques et artistiques
    • Proposer des outils de sensibilisation plus interactif

    Exemples d’application

    Il serait nécessaire de réaliser un diagnostic pour identifier les besoins des étudiants concernant le besoin de formation/ sensibilisation aux enjeux environnementaux. Il serait intéressant de créer une UE obligatoire en L1, optionnelle en L2 et L3, et éventuellement poursuivie en master. Cette UE pourrait être déployée en plusieurs phases :

    1. Une première phase où l’UE serait abordée sous le prisme spécifique de chaque filière, afin d’intéresser les étudiant·es.
    2. Une deuxième phase centrée sur des échanges interdisciplinaires, favorisant le partage d’expériences entre étudiant·es de différentes formations.

    Une UE sur les sujets environnementaux de 3 ECTS pourrait être intégrée dès la L2 d’ici 2027, comme recommandé dans le rapport Jouzel-Abbadie.

    Une SAÉ centrée sur l’écologie, adaptée à chaque filière, permettrait d’appliquer concrètement les connaissances acquises, tout en privilégiant une approche optimiste et en proposant des solutions concrètes et locales face aux enjeux environnementaux, sans démoraliser les étudiant·es.

    Défis à relever

    • Formation des enseignant·es : il est nécessaire de trouver des organismes qualifiés pour la formation, tout en surmontant les contraintes de temps et de ressources.
    • Réforme du système éducatif : moderniser les cursus universitaires et intégrer des enseignements environnementaux obligatoires dans toutes les filières.
    • Manque de moyens : financement limité, difficultés à trouver des intervenants qualifiés et à adapter les emplois du temps.
    • Engagement des étudiant·es : il est crucial de faire face à un éventuel désintérêt ou à des préjugés concernant la transition écologique.
    • Complexité administrative : il faudra identifier les besoins spécifiques des étudiant·es et mettre en place des structures adaptées.

    Ressources nécessaires

    • Ressources humaines : enseignant·es formé·es, maîtres de conférences, spécialistes et intervenant·es externes.
    • Ressources financières : financement pour des bourses, l’organisation d'événements, stages et partenariats.
    • Ressources matérielles : ordinateurs, caméras pour les formations hybrides, infrastructures adaptées pour les conférences et activités interdisciplinaires.

    Acteur.rices

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    • Université


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Il s’agit aussi de conjuguer actions et théorie, un rôle que la CCE a déjà commencé à remplir.</p><p>Un accent particulier sera mis sur les études à l’étranger, ainsi que sur des programmes et formations actualisés régulièrement. L’intégration d’exemples concrets de problématiques actuelles dans les cours permettra aux étudiant·es de mieux appréhender le monde dans lequel nous vivons, tout en leur offrant une vision moins abstraite des enjeux actuels.</p><p>En outre, une approche plus interactive sera adoptée par l’organisation des conférences dites \"artistiques\", où les étudiant·es pourront participer à des projections cinématographiques ou des représentations théâtrales suivies de débats avec les intervenants.</p><p>Des cours interactifs seront proposés, où l’évaluation prendra la forme d’un projet à rendre, portant sur des problématiques environnementales.</p><p>Cette proposition inclut également la formation des enseignant.es aux enjeux de la transition écologique, afin qu'ils·elles puissent les intégrer dans leurs enseignements.</p><p><strong>Formation des enseignant·es</strong></p><p>Les formations proposées auront pour objectif de permettre aux enseignant.es de :</p><ul><li>Proposer des formations pratiques et interdisciplinaires sur les enjeux environnementaux.</li><li>Renforcer les liens avec le monde artistique, en les formant à l’organisation de conférences académiques et artistiques</li><li>Proposer des outils de sensibilisation plus interactif</li></ul><p><strong>Exemples d’application</strong></p><p>Il serait nécessaire de réaliser un diagnostic pour identifier les besoins des étudiants concernant le besoin de formation/ sensibilisation aux enjeux environnementaux. Il serait intéressant de créer une UE obligatoire en L1, optionnelle en L2 et L3, et éventuellement poursuivie en master. Cette UE pourrait être déployée en plusieurs phases :</p><ol><li>Une première phase où l’UE serait abordée sous le prisme spécifique de chaque filière, afin d’intéresser les étudiant·es.</li><li>Une deuxième phase centrée sur des échanges interdisciplinaires, favorisant le partage d’expériences entre étudiant·es de différentes formations.</li></ol><p>Une UE sur les sujets environnementaux de 3 ECTS pourrait être intégrée dès la L2 d’ici 2027, comme recommandé dans le rapport Jouzel-Abbadie.</p><p>Une SAÉ centrée sur l’écologie, adaptée à chaque filière, permettrait d’appliquer concrètement les connaissances acquises, tout en privilégiant une approche optimiste et en proposant des solutions concrètes et locales face aux enjeux environnementaux, sans démoraliser les étudiant·es.</p><p><strong>Défis à relever</strong></p><ul><li><strong>Formation des enseignant·es</strong> : il est nécessaire de trouver des organismes qualifiés pour la formation, tout en surmontant les contraintes de temps et de ressources.</li><li><strong>Réforme du système éducatif</strong> : moderniser les cursus universitaires et intégrer des enseignements environnementaux obligatoires dans toutes les filières.</li><li><strong>Manque de moyens</strong> : financement limité, difficultés à trouver des intervenants qualifiés et à adapter les emplois du temps.</li><li><strong>Engagement des étudiant·es</strong> : il est crucial de faire face à un éventuel désintérêt ou à des préjugés concernant la transition écologique.</li><li><strong>Complexité administrative</strong> : il faudra identifier les besoins spécifiques des étudiant·es et mettre en place des structures adaptées.</li></ul><p><strong>Ressources nécessaires</strong></p><ul><li><strong>Ressources humaines</strong> : enseignant·es formé·es, maîtres de conférences, spécialistes et intervenant·es externes.</li><li><strong>Ressources financières</strong> : financement pour des bourses, l’organisation d'événements, stages et partenariats.</li><li><strong>Ressources matérielles</strong> : ordinateurs, caméras pour les formations hybrides, infrastructures adaptées pour les conférences et activités interdisciplinaires.</li></ul><p><strong>Acteur.rices</strong></p><ul><li>Enseignant·es</li><li>Étudiant·es</li><li>Université</li></ul><p> <br></p>", ""]
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Avatar: Du mesnil de maricourt Du mesnil de maricourt
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