L'université de l'avenir, l'avenir en commun(s)

Une étudiante de l'INSEAD a proposé de travailler à une gratiferia constituée d'objets dont les MBA qui partent en décembre voudraient se séparer. Nous avons donné ses coordonnées à Soligreen.

1Communication à partir de la rentrée de septembre
Création d’un compte insta de la friperie partagée par le compte BDE pour que la communication soit efficace et que les gens soient informés des lieux, horaires, avancées..
Mise en place d’affiches, posters et points de collecte dans tous les campus de l’UPEC

2Récolte et stockage
Grande mise en place des articles dans un local, accessible et communiqué, pour organiser la phase de vente des objets et vêtements, prix très faible pour que ce soit accessible à tous

3Brocante
Organisation d’une grande collecte de vêtements, d’objets et de meubles pour les étudiants et le personnel de l’UPEC comme une sorte de brocante
Deux brocantes dans l’année : une hiver et une printemps, si trop de stock, prévoir d’en faire une entre les deux pour pas trop accumuler

4Vente

5Argent récolté à destination d’associations caritatives/CVEC
Cela pourrait servir au fond de CVEC à financer des projets pour les étudiants ou le local qui nous sert de “fripe"

Intérêt de cette proposition :
- Génération d’étudiants qui apprécie la seconde main
- Favorise l’économie circulaire
- Permet aux étudiants de gagner un peu d’argent et/ou d’acheter des objets utiles à bas prix
- Permet aux étudiants de se débarrasser d’objets de leur appartement étudiant lors de la fin de leurs études sans gaspillage
- Permet à des étudiants venant d'emménager d’accéder à des meubles, ustensiles de cuisine etc… pas cher.
- Répond aux enjeux du bien-être étudiant et à la transition écologique
- Economie circulaire
- Local
- Objectif de sensibilisation pour montrer aux étudiants que la seconde main est percutant
- Optimiser nos ressources

Proposition d’action :
- Une brocante au sein du campus universitaire ouverte à toute la communauté universitaire. Les personnes du campus pourront se fournir en biens d’une manière plus écoresponsable. Les objets dont le détenteur veut se séparer ne seront donc pas devenus des déchets et retrouvent une seconde utilisation.

Proposition d'action :
- La vente se fait exclusivement pour les vêtements, l’électroménager, les jouets, la papeterie, le matériel de sport, le matériel de bricolage, ustensiles de cuisine et meubles. Les objets inutilisables et hors catégories ne seront pas acceptés à la vente. Le prix est fixé par les étudiants qui récupèrent 100% de leurs gains.

Pour gérer le nombre d’exposants, un document à remplir 1 mois avant l’évènement sera à remplir par les volontaires. La clôture pour participer sera 1 semaine avant la brocante pour pouvoir organiser le plan de la brocante.

Le budget n’est pas conséquent puisqu’il faudra pouvoir se fournir des tables pliantes d’un prix d’environ 30 euros la table, s’il n’y en a pas déjà à disposition sur le campus. Ce sont les étudiants qui s’occupent de la communication et de la sensibilisation.

Focus sur le campus de Sénart :
- Demander une autorisation aux responsables, monter une équipe de 5 volontaires (BDE ou pas), support de communication à créer par les étudiants en Métiers du Multimédia et de l’Internet / Sciences de l’Environnement et Ecotechnologies.

Les organisateurs devront déterminer les dates de brocantes qui se passeront sur un après-midi banalisé pour tous les étudiants sur l’emploi du temps. Buvette et repas peuvent être préparés par les étudiants en diététique.

Pour la localisation de la brocante sur le campus de Sénart, celle-ci va varier en fonction de l’époque de l'année. Pour les brocantes de septembre et juin, une installation en plein air peut se faire sur le campus de Sénart . Pour la brocante de janvier, cela peut se faire au bâtiment H, puisque celui-ci dispose d’un grand espace utilisable pour exposer, avec des tables et chaises.

Limites du projet :
- Risque de mauvaise organisation
- Risque de manque de fond pour acheter le matériel
- Risque de non respect des règles sur les objets autorisés à la vente (possibilité de créer une charte)
- Il faut pouvoir banaliser un après-midi pour tout l’IUT
- Cette proposition dépend de la popularité de l’événement et de l’implication des étudiants

Rédacteurs : groupe E GB-SEE