Food, an issue of collective deliberation

Je trouve l'idée très intéressante, et malheureusement, l'obligation de présence me paraît importante, voire nécessaire... Sur beaucoup d'événements engagés, on se retrouve malheureusement dans un "entre-soi"....

Egalement, pour véritablement considérer avoir acquis un savoir, on considère en sciences de l'éducation qu'il faut être en capacité de le transmettre, au moins de l'expliquer.
Est-ce que l'idée du groupe qui a formulé cette proposition comprend aussi un petit exercice de restitution ou autre ? Est-ce qu'il pourrait être l'objet d'un petit point bonus sur un semestre par ex, et ainsi donner plus de sens à l'intervention pour les étudiant.e.s qui la vivraient comme une obligation totalement dénuée de sens ?

Pour préciser,
Si le cours est optionnel, il ne doit pas faire l'objet de coefficient ou de notes. Sauf si l'enseignement propose d'autres cours optionnels dans d'autres matières, qui sont notés de la même manière et participent de façon identique à une UE (en étant compris dans les heures de formation de la filière).
Car si le cours est optionnel dans le sens où il est considéré comme "un plus", certains étudiants en manque de temps (jobs étudiants, distance avec la fac...) ne pourrons pas faire le choix de ce cours et se retrouverons dans une situation d'inégalité vis-à-vis des autres étudiants.
Ainsi, selon moi, soit le cours est obligatoire pour tout le monde et entre dans l'emploi du temps de base appliqué par la formation, soit il est optionnel mais ne doit pas être noté.

@Mayz00 par rapport à la question de (qu'est-ce qui motivera les étudiants à y assister), nous avons penser à créer chez les étudiants une familiarité avec les questions environnementales (pollution, etc). Notamment en introduisant dans les journées d'intégrations sur le campus, des interventions d'acteurs et des conférences sur ces questions. Ce sera une manière de faire la présentation des cours et de faire une sensibilisation.

Parce que nous nous sommes rendus compte que plusieurs d'entre nous ignoraient encore le sens des questions environnementales. Et les trois jours de convention ont largement suffit pour nous immerger dans le sujet et pour susciter en nous l'envie personnel de poursuivre. Je pense que s'inspirer de la convention lors des journée d'intégration de rentrée sco. qui regroupe grand monde, pourrait permettre d'attirer une bonne partie des étudiants.

La démarche Fontainebleau en Transition a fait émerger une proposition d'initiative qui, sans être dans le champs stricto sensu de l'apprentissage universitaire, encore moins dans celui d'un enseignement obligatoire, s'oriente vers la CRÉATION ET ANIMATION D’UN RÉSEAU D’INNOVATION OUVERTE (ÉCOLES-ESR-ENTREPRISES-CITOYENS) : Ruche d’entreprises et encouragement à l’investissement dans des starts-ups « vertes » + Laboratoire de recherche-action et d’idées parmi les formations étudiantes du territoire afin de favoriser l’innovation écologique et économique + Intégration citoyenne à travers la mise en œuvre d’une université populaire itinérante (débats, formations, …) + Contribution à un événementiel « vert »: colloques, festival, salons, forums etc. Ce réseau naturellement à constituer en lien avec les acteurs de l'enseignement local converge vers une partie des préoccupations de cette fiche.

Je trouve l'idée de faire des cours sur la sensibilisation et la transition écologique plutôt intéressante. En effet, nous ne pouvons pas dire que nous sommes très informé sur le sujet sans faire des recherches par nous même.
En effet, comme il l'a déjà été dit, je ne pense pas que rendre le cours obligatoire pour tous les étudiants une solution.
Par contre de façon pratique, il serait possible de mettre un cours de ce type dans le tronc commun des matières. Ainsi, comme c'est déjà le cas en master, les élèves auront le choix entre ce cours et d'autres.
Par contre pour ceux qui ont choisis un master dans cette voie, comme par exemple le parcours politiques de santé et risques environnementaux (PSRE), ce cours pourrait être obligatoire puisqu'il serait en adéquation avec leur parcours.
Ainsi, cette matière serait soit optionnelle soit obligatoire, cela dépendrait du parcours que l'étudiant choisis. Évidemment, je parle ici des parcours masters et non des licences.

Contraiement à moi, je pense que rendre ce cours obligatoire serait une meilleure façon d'impliquer les étudiants à participer. Il pourrait se composer sous forme d'un projet ou action que chaque étudiant devra mené.e en dehors des projets que nous connaissons déjà. Ce projet ou cette action pourra avoir seulement la participation obligatoire quant aux autres critères (lieu, nombre d'heures, types actions etc), ils devront etre aux choix des étudiants.

Il existe des enseignements sur ces thématiques dans la liste des UE d'ouverture, à voir s'il ne faudrait pas s'assurer qu'elles soient bien connues également : https://www.u-pec.fr/fr/etudiant-e/etudes-et-scolarite/ue-d-ouverture/liste-complete-des-ue-d-ouverture

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